Les tribulations de la Française des jeux
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France24 fait parier sur le verdict du procès de Véronique Courjeault
Peut-on parier sur tout ?
France24 vient de franchir le pas franchi depuis longtemps par les bookmakers communautaires.
- quand Véronique Courjault sortira t-elle de prison ? en juin 2009, avant 2011 ...?
- citation directe ou sans-suite pour Julien Dray ?
- quel sera le montant des amendes prononcées contre les associations de la scientologie ? + de 4 M d'€ , - de 2 M € ...?
- quand démissionera le 1er ministre Fillon ? juin2009, sept 2009, en 2012 ...?
- combien de députés et sénateurs seront présents au congrés de versailles ? - de 600, + de 700 ...?
A voir :
le site parier.fr, bourse d'échange de paris: http://parier.fr et http://laboursedesparis.fr
A lire (pdf) :
"Le Syndicat National des Journalistes de RFI haussent le ton" Communiqué SNJ RFI
A écouter (mp3) :
le commentaire de David Abiker sur France-Info le 11/06/09
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La Française des jeux se lance dans le poker
aucun scrupule à piéger le client |
La Française des Jeux s’allie à CyberArts pour le poker en ligne
La Française des Jeux (FDJ) prépare activement l’ouverture du marché des jeux en ligne prévue le 1er janvier 2010 en France.
Ken Arnold, président de CyberArts, a affirmé qu’il sera possible de jouer au poker en ligne sur le site de la FDJ dès l’ouverture du marché des jeux en France. Le logiciel devrait être accessible en argent virtuel, ou « playmoney » avant même l’ouverture du marché.
Ceci est le signal fort que l'on s'achemine vers une privatisation totale de la Française des Jeux.
Mais que penser des rumeurs de rapprochement avec le PMU ?
Les banquiers conseils planchent sur le dossier...
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Depuis le début-
Le 08/07/2009 à 08:48 par fdj arnaque - Site web
Rapido devant les tribunaux
Une méthode simplissime mais diablement efficace. D'autant que les poulets font grâce aux buralistes d'un élément qui explique la facilité avec laquelle ils se délestent aussi facilement de leur fraîche. Un petit intéressement au gain. Pour tout gain de 10 000 euros dans leur établissement, le patron empoche 750 euros de primes par la Française des Jeux. Et l'appât de ce gain les rend bien plus avenants envers les vainqueurs. Et plumables par des escrocs tout de même bien renseignés. Outre - les numéros gagnants du Rapido -, ils connaissent aussi également - le numéro confidentiel d'activation des ordinateurs de la Française des Jeux -…
Las, les investigations - auprès de la Française des Jeux et des courtiers ne permettaient pas d'établir pour l'heure une complicité interne -.
Et le 8 juillet, ce ne sont que - les Africains du Rapido - qui sont passés devant la 13e chambre correctionnelle de Paris pour escroquerie en bande organisée. Ainsi, 17 000 euros de gains ont été soustraits aux buralistes. La Française des Jeux, qui génère un chiffre d'affaires d'un milliard d'euros au Rapido, s'est quant à elle portée partie civile… -
Le 03/07/2009 à 09:39 par Anonyme
Paris sportifs en ligne : ouverture du marché différée?
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L'ouverture du marché des paris sportifs n'aura lieu qu'en 2010, officiellement le 1er janvier, et selon la rumeur juste pour le coup d'envoi de la Coupe du Monde de Football.
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Et pourtant, certains opérateurs européens essaient de prendre un peu d'avance sur les autres. La future Autorité de Régulation des Jeux en Ligne (ARJEL) réfléchirait à deux mesures. Selon La Tribune, - les opérateurs qui demanderont une licence ne seront pas autorisés à transférer automatiquement les comptes des joueurs français conquis avant la période légale. Ils devront désinscrire leurs clients et les convaincre de se réinscrire sur le site français -.
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Notons que l'ARJEL ne disposera pas de pouvoir de justice et ne pourra sanctionner que les sites ayant une licence française. Pour les sites étrangers, elle devra demander le concours du Ministère de l'Intérieur. -
Le 30/06/2009 à 09:18 par Anonyme
L'Association européenne des jeux et des paris (EGBA), qui regroupe les principaux opérateurs européens, est ainsi très critique sur le projet français. Elle met notamment en cause le taux de retour au joueur (les gains que peut espérer un joueur), volontairement limité à 85 % dans le projet français pour ne "pas favoriser l'addiction".
Ces opérateurs souhaitent également que tout opérateur établi dans l'UE puisse obtenir automatiquement une licence pour le marché français. Ils ne veulent pas non plus de la fiscalité prévue (7,5 % sur les paris sportifs et hippiques) et demandent que le prélèvement fiscal soit effectué sur le produit brut des jeux (PBJ, différences entre les mises et les gains) et non sur le chiffre d'affaires.
En attendant, certains acteurs commencent à douter d'une mise en place effective du dispositif français le 1er janvier 2010. "Cette date butoir, dit le sénateur François Trucy, sera très difficile à respecter" en raison de "l'existence de très nombreux points difficiles de la loi qui posent problème" et de "l'encombrement insupportable du calendrier des travaux parlementaires".
Selon une source proche du dossier, le projet de loi, pas encore inscrit à l'ordre du jour, devrait être discuté par les députés fin septembre. Mais d'ores et déjà, la future Autorité de régulation des jeux en ligne (Arjel), qui délivrera notamment les licences, commence à réfléchir sur le dispositif technique de contrôle des jeux en ligne.
Deux ingénieurs de télécommunications, Alain Schott et François Druel, ont ainsi présenté à l'Arjel, un projet de plate-forme technique de contrôle par laquelle passeraient obligatoirement joueurs et opérateurs. -
Le 18/06/2009 à 17:41 par Anonyme - Site web
Rififi entre BetClic, Unibet et la FdJ
Date: 04/17/2009
L'ouverture du marché des paris sportifs en ligne est toujours prévu pour le 1er janvier 2010 mais il semble que les opérateurs aient déjà des fourmis dans les jambes.
La française des Jeux n'a plus que quelques mois pour profiter de son monopole sur les paris sportifs (Loto Foot, Cote & Match, Cote & Score), et elle entend bien l'exploiter à fond afin de partir avec une petite marge d'avance sur ses futurs concurrents, le 1er janvier 2010. On voit en effet fleurir les publicités pour Cote & Match sur Internet, à la télévision, à la radio. Et tout ceci n'est évidemment pas du goût de tout le monde, à commencer par les opérateurs en quête d'une licence pour 2010 qui y voient une manœuvre pas très fair-play.
La réponse du berger à la bergère : BetClic s'est associé à Europe1 et a commencé à diffuser des spots publicitaires, tandis qu'Unibet sponsorise maintenant l'émission "Les paris RMC". Notre pauvre ministre Eric Woerth ne s'attendait pas à un tel faux-départ et a aussitôt exigé l'arrêt de ces campagnes publicitaires illégales. En contrepartie, BetClic et Unibet demandent, dans un souci d'équité, l'arrêt des campagnes de la FdJ !
Le Ministre du Budget a annoncé que "dans un souci d'apaisement", la publicité sur les paris sportifs et les jeux en ligne de la FdJ et du PMU allait être suspendue. Sur RTL, l'émission "On joue le match", n'est donc plus sponsorisée par Cote & Match mais par le plus neutre Loto. On n'entend donc plus parler de BetClic et Unibet sur Europe1 et RMC. Pour l'instant. -
Le 14/06/2009 à 08:57 par anonyme
ou est l'interet general qui protege la fdj dans tout cela ? -
Le 13/06/2009 à 11:57 par anonyme Talentsoft - Site web
La Française des jeux se prépare à la nouvelle donne
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Anticipant les bouleversements de l'ouverture à la concurrence, la société a dressé la carte précise de ses métiers et choisit le logiciel de Talentsoft pour la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences.
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Gérer les ressources humaines de façon prévisionnelle afin de répondre à l'évolution de l'entreprise imposée, entre autres, par l'ouverture à la concurrence. -
Le 02/06/2009 à 20:24 par sociologue complices
- Un outil de régulation -
En 2008, 60 % de la population âgée de plus de 18 ans s'est adonnée à au moins un jeu d'argent. C'est considérable, mais le chiffre d'affaires global du secteur a fléchi de plus de 3 % l'an dernier. - Le jeu est très lié au moral des Français, confie-t-on à La Française des jeux (FDJ). En ce moment, les dépenses sont freinées… - Pas toutes, puisque le PMU a vu son activité bondir de près de 5 % en 2008. Pour la première fois, les courses devancent les jeux de la FDJ en chiffres d'affaires, tandis que les casinos (les machines à sous) ont subi une dégringolade de 8,4 %.
- Le jeu est un réducteur potentiel d'inégalités et donc un outil de régulation et d'ordre -, analyse pour sa part le sociologue Gérard Mermet dans son ouvrage Francoscopie. Notre pays n'est pourtant pas le plus joueur au monde. Avec 700 euros par an et par ménage, nous sommes dans une honnête moyenne.
lionel maugain, erwan le fur et gerard cohen-zardi (professeur de mathematiques) -
Le 02/06/2009 à 20:23 par anonyme - Site web
Jeux en ligne : une bombe à retardement
L'an prochain, les sites de pronostics hippiques, sportifs et de poker en ligne seront légalisés en France. Avec l'arrivée de nouveaux acteurs, les offres vont se multiplier. Mais l'explosion commerciale annoncée risque fort de favoriser les trucages et l'addiction.
Depuis quelques années, le nombre de sites de jeux en ligne, de paris sportifs ou hippiques, de casino ou de poker, a explosé. Plus de 25 000 ont été recensés par le ministère du Budget, dont 20 % en langue française. Plus de 2 millions de Français s'adonneraient déjà à ce type de paris en ligne.
Pourtant, ces sites Internet sont en principe interdits en France. La Française des jeux (FDJ) organise en exclusivité les paris sportifs, le PMU a le monopole des paris sur les courses, et seuls les cercles agréés et les casinos peuvent abriter des parties de poker ou des jeux de casino.
Ce qui n'empêche aucunement les parieurs français de se rendre sur des sites basés à l'étranger, bien souvent dans des paradis fiscaux, afin de miser sur les événements sportifs, notamment. Pourquoi ? Parce qu'on y gagne davantage ! Plus de 90 % des sommes misées reviennent aux bons pronostiqueurs, contre seulement 70 % avec La Française des jeux…
Le ministre du Budget, pressé par l'Union européenne, a proposé une loi visant à légaliser et à encadrer les sites de jeu dès l'an prochain. D'ici là, les débats en coulisses vont être chauds sur plusieurs points, en particulier sur la fiscalité. Le projet impose une taxe de 8,5 % sur les mises : 2 % pour les paris de poker en ligne et 15,5 % sur les paris hippiques, dont 8 % pour la filière équine. Beaucoup trop, pour les opérateurs actuels, quasiment tous installés à Malte, Gibraltar ou au Royaume-Uni, des Etats qui ne prélèvent qu'environ 1 %.
Par ailleurs, une Autorité de régulation des jeux en ligne délivrera des licences et s'assurera de certaines garanties, spécifiquement en matière de lutte contre le blanchiment de l'argent et de protection des mineurs. -
Le 02/06/2009 à 20:22 par Un outil de régulati - Site web
CHANCE.Grattage, tirage, pronostics : deux Français sur trois s'adonnent au jeu. Ils y consacrent 700 euros par ménage et par an. Quelles sont les vraies possibilités de gagner ?
Dix avions, 1 000 voitures - à conduite intérieure - et 2 500 Mobylette : les lots de la première tombola nationale, en 1931, impressionnent tellement qu'elle connaît un succès considérable.
Lancée au profit des -gueules cassées- de la Première Guerre mondiale, elle donnera naissance à la Loterie nationale deux ans plus tard. Aujourd'hui encore, un prélèvement de 0,4% est effectué sur les mises du Loto au profit de l'Union des blessés de la face et de la tête.
Depuis, les jeux ont perdu leur vocation bienfaitrice.
Ils sont avant tout organisés pour apporter autour de 5 milliards d'euros au budget de l'Etat, qui a jalousement maintenu son exclusivité d'exploitation, sous prétexte de protéger l'ordre public, les populations vulnérables, sécuriser les opérations, lutter contre la fraude et le blanchiment d'argent. Tout est donc soigneusement réglementé et, en premier lieu, ce qui est redistribué aux joueurs, qui sont en quelque sorte des supercontribuables. Le fisc fait toutefois une fleur aux chanceux : leurs gains ne sont pas imposables.
- Un outil de régulation -
En 2008, 60 % de la population âgée de plus de 18 ans s'est adonnée à au moins un jeu d'argent. C'est considérable, mais le chiffre d'affaires global du secteur a fléchi de plus de 3 % l'an dernier. - Le jeu est très lié au moral des Français, confie-t-on à La Française des jeux (FDJ). En ce moment, les dépenses sont freinées… - Pas toutes, puisque le PMU a vu son activité bondir de près de 5 % en 2008. Pour la première fois, les courses devancent les jeux de la FDJ en chiffres d'affaires, tandis que les casinos (les machines à sous) ont subi une dégringolade de 8,4 %.
- Le jeu est un réducteur potentiel d'inégalités et donc un outil de régulation et d'ordre -, analyse pour sa part le sociologue Gérard Mermet dans son ouvrage Francoscopie. Notre pays n'est pourtant pas le plus joueur au monde. Avec 700 euros par an et par ménage, nous sommes dans une honnête moyenne.
lionel maugain, erwan le fur et gerard cohen-zardi (professeur de mathematiques) -
Le 01/06/2009 à 15:13 par camé du jeu - Site web
Le démon du jeu peut conduire en prison
lundi 01.06.2009, 05:06 - La Voix du Nord
Un jeune homme de 25 ans comparaissait mercredi pour trois chefs de prévention. Accroc aux paris sportifs, il a commis diverses escroqueries et un vol de chéquier.
Les paris sportifs, qu'il s'agisse des résultats de football ou du tiercé, peuvent provoquer la folie des grandeurs. C'est ce qui est arrivé à Karim Boudia, qui a gagné 54 000 E au Loto Foot... et tout reperdu dans l'année.
Le sport, discipline aléatoire par nature, n'est pas une science exacte. Ainsi, c'est pour se - refaire - que le 31 janvier 2006, il vole un ticket gagnant dans un bar PMU à une figure locale surnommée - le Mammouth -. Il avait avant cela joué et perdu sur plusieurs courses sans avoir les moyens de payer. Deux ans plus tard, entre le 20 et le 27 mai 2008, il - trouve - un carnet de chèques qu'il s'empresse d'aller utiliser dans l'un de ces cafés remplis de joueurs de tiercé et joue 6 000 E sur une course, qu'il perd aussi, avant de brûler le reste du chéquier. Pour sa défense, le jeune Karim assure avoir commencé à rembourser le propriétaire du bar.
Dans le même temps, il dérobe la carte bleue de l'ex-petit ami de sa compagne, dont la mère a écrit au procureur pour lui faire part de son inquiétude, celle-ci craignant que le jeune homme la pousse à se prostituer. Cette dernière est enceinte mais assure ne jamais s'être prostituée. Avec la fameuse carte bleue, il va effectuer des retraits et faire des achats pour un montant de 2 800 E en 24 heures. Enfin, il comparaît pour inexécution de travaux d'intérêt général.
Le procureur évoque alors - un joueur compulsif - en état de récidive qui n'exprime pas de regrets. Karim Boudia assure que depuis quelques mois, il travaille avec ses parents, commerçants, et insiste sur le fait qu'il a commencé à rembourser ses dettes. Sur quoi le président rebondit et lui rétorque qu'il lui - reste vos dettes envers la société -. Au total, le prévenu est condamné à 16 mois de prison ferme mais sans mandat de dépôt, deux ans de prison avec sursis ainsi qu'au versment de 2 900 E au propriétaire de la carte bleue.
t
G. P. -
Le 20/05/2009 à 13:12 par
parier.fr
- Site web
parier en achetant et en vendant des paris sur parier.fr, la seule bourse d'échange de paris. -
Le 15/05/2009 à 18:10 par anonyme - Site web
l'octroi de droits spéciaux ou exclusifs par le biais d'un régime strict d'autorisations ou de concessions peut être compatible avec une telle politique de limitation de l'offre, à la condition d'être décidé dans le but de réduire véritablement les occasions de jeux et la stimulation de la demande par la publicité.
Il ne serait pas acceptable, en revanche, que l'octroi d'autorisations et de concessions constitue simplement un moyen de canaliser les bénéfices d'une demande virtuellement illimitée en direction des caisses des autorités publiques ou de celles d'organismes exploitant des activités d'intérêt général. -
Le 15/05/2009 à 18:05 par anonyme
Lorsque cette pratique du jeu devient - problématique - ou - excessive -, le joueur est incapable de limiter la place du jeu dans sa vie, qui finit par devenir le centre de son existence, au détriment de toutes les autres formes d'activités (familiales, sociales, professionnelles, etc.).
Les joueurs pathologiques ne sont pas nécessairement ceux qui jouent beaucoup, mais plutôt ceux qui deviennent incapables de contrôler leur pratique, et ce malgré les répercussions négatives de celle-ci. -
Le 15/05/2009 à 18:03 par vendeurs de droque - Site web
Oxxo ,avec un taux de redistribution aux joueurs de 67 pour cent ,le jeu qui sera accessible quotidiennement ,se verra associe a un tirage et un grattage.
La francaise des jeux pour lancer ce nouveau jeu afin d attirer a elle,les plus jeunes joueurs,se voit severement critiquer,en effet pour le lancement de ce jeu,des bons de grattage seront distribues,et les associations de defense contre le jeu sont assez furieuse d´une telle incitation au jeu!
Meme en periode de crise,la francaise des jeux se remplit les poches,pendant que le francais moyen se rattache a l illusion du gain,honteux et dire qu on va lancer ca un vendredi 13! -
Le 15/05/2009 à 18:01 par anonyme
Le gouvernement veut faire croire à une obligation d'ouverture à la concurrence. Il bluffe : il n'y a pas de fatalité au - jouer plus pour perdre plus -. Il y a en revanche une obligation de comportement d'intérêt général pour les monopoles publics. C'est bien le moins. Il est grand temps de la faire respecter à nos opérateurs de jeux d'argent. -
Le 15/05/2009 à 18:00 par anonyme
Une autre politique, progressiste, est possible.
- Au niveau national, la bonne politique consiste à renforcer la tutelle sur les monopoles, et non à la supprimer.
L'Etat n'a pas joué son rôle de tutelle, garante de l'intérêt général, et a laissé la Française des Jeux, et dans une moindre mesure le PMU, mener des politiques commerciales contraires à la santé publique.
Une première réaction - celle du gouvernement - consiste à supprimer la tutelle défaillante.
Une autre réaction vise à la restaurer. La mise en place d'une politique cohérente de maîtrise de l'offre de jeux, avec notamment la fixation d'objectifs-plafond, l'interdiction de vente à certains publics, l'encadrement plus strict du développement de nouveaux produits font partie de la palette d'outils qui n'ont jamais été utilisés. C'est sur le terrain de la restauration de l'intérêt général qu'il faudrait se placer face à la Commission, et non sur celui de la libéralisation.
- Au niveau européen, il serait utile de mener la contre-offensive politique contre l'approche du Commissaire Mc Creevy. -
Le 15/05/2009 à 17:59 par anonyme - Site web
Les monopoles publics sur les jeux sont autorisés s'ils sont motivés par l'intérêt général, et notamment la santé publique. Or les monopoles français ont un comportement clairement contraire à l'objectif de santé publique.
Aucune politique sérieuse n'a été conduite pour la lutte contre l'addiction. Un - comité du jeu responsable - a été créé en 2006, mais il est uniquement consultatif et ne concerne que les jeux de la Française des Jeux.
Pire, des jeux comme - Rapido - (Française des Jeux) ou - Pariez Spot - (PMU) sont directement destinés à encourager l'addiction. Et la sollicitation commerciale et publicitaire du jeune public est un véritable scandale de santé publique : la Française des Jeux mène ainsi une politique active d'incitation des mineurs, en exploitant l'univers de la bande dessinée ("morpion", "XIII") et du cinéma (Guerre des Etoiles, James Bond).
Il y a donc là une violation flagrante des motifs d'intérêt général. Ce n'est pas le monopole par lui-même qui est en cause, mais les politiques d'expansion agressives conduites par les directions de ces entreprises, incitées par le laxisme de leurs tutelles.
Dans quel but ? Budgétaire. Ces politiques dynamiques ont permis à la Française des Jeux (9.3 Md€ de chiffres d'affaires) et au PMU (8.8 Md€) d'obtenir des résultats florissants et de fournir des recettes très importantes pour le budget de l'Etat. Il est clair au vu de la jurisprudence de la Cour de justice européenne qu'un Etat ne saurait établir un monopole à son profit puis encourager les joueurs par une politique commerciale agressive, afin de remplir ses caisses, au détriment de la santé publique. C'est aussi le sens moral. -
Le 15/05/2009 à 17:53 par tricheur - Site web
les engagements de la FDJ auprès de l'UDA (union des annonceurs)
ENGAGEMENT 1 : Inscrire l'ensemble de ses prises de parole externes dans le cadre de ses codes de communication responsable
ENGAGEMENT 2 : Inciter les publics auxquels on s'adresse à des comportements responsables
ENGAGEMENT 3 : Utiliser avec loyauté les données privées sur ses clients finaux dans sa démarche marketing et commerciale
ENGAGEMENT 4 : Engager un process interne permettant de valider les communications avant leur diffusion externe
ENGAGEMENT 5 : Intégrer l'impact environnemental dans les critères de choix des supports de communication
A vous de juger de la repsonsabilité, des incitations et de la loyauté de la Fdj
Quand à la préservation de l'environnement, ils nous expliquerons bientot que le jeu sur internet contribue au mieux de la planete car plus de tickets en papier !
Ils se moquent de nous..., et ils ont raison d'en profiter.
Ils ne sont d'ailleurs pas les seuls à récupérer les dividendes d'une politique de lavage de cerveau instaurée dès la naisance. -
Le 15/05/2009 à 17:45 par etude psy (partie 2) - Site web
L'objectif de cette recherche était de proposer un modèle causal de la prise de risque après l'annonce d'un gain d'autrui, dans un jeu de pur hasard d'apparence élémentaire. La prise de risque était mesurée par le ratio d'investissement, soit le nombre de points misés sur le nombre de points possédés au moment de la mise.
En accord avec la définition princeps de Langer [J Perso Soc Psychol 32 (1975) 311-328], l'illusion de contrôle était mesurée par le niveau d'attente de réussite personnelle.
Les résultats montrent que l'annonce d'un gain notable d'autrui produit une augmentation de la perception de réussite personnelle et une hausse de la prise de risque. Ces résultats valident le modèle causal selon lequel l'effet de l'annonce d'un gain notable d'autrui sur la prise de risque est médiatisé par le niveau d'attente de réussite personnelle.
La discussion porte principalement sur la nécessité de prendre en compte le fait que les joueurs ne sont pas des décideurs isolés, mais tiennent compte d'un certain nombre de paramètres sociaux qui guident leurs choix et leurs actions. -
Le 15/05/2009 à 17:43 par accro - Site web
La connaissance du gain d'autrui : une incitation au risque ? -
Le 15/05/2009 à 17:32 par drogué - Site web
une offre de service raisonnable et maitrisée, répondant à la demande naturelle, voila une mission d'interet géneral que la fdj semble avoir occculté depuis bien longtemps !
A mort le monopole, privatisons la fdj puisqu'elle se comporte comme les opérateurs de jeu privés ! -
Le 15/05/2009 à 09:04 par fake - humour - Site web
prospective:
OUVERTURE DU MARCHE DES PARIS INTERNATIONAUX
C'est maintenant officiel . Le marché des jeux est ouvert à la totalité des sociétés de paris . Vous pouvez donc depuis le 1er janvier faire vos jeux sur les courses de chameaux , d'autruches ou de tout autre animal assez insolite dans nos contrées européennes .
La légalisation de l'ouverture des droits à l'international des paris sur l'ensemble des courses va bouleverser le monde des sociétés organisatrices d'évènements , en permettant à l'ensemble des acteurs d'offrir une vaste gamme de courses afin d'élargir leur clientèle . La seule contrainte légale supplémentaire est la diffusion obligatoire des images .
Le PMU - Française des jeux a réalisé l'an dernier sa meilleure année depuis sa fusion en 2012 avec un chiffre d'affaire de 65 Milliards d'euros et compte bien grâce à cette nouvelle directive augmenter son C.A. de 7 à 9% . -
Le 15/05/2009 à 09:00 par anonyme
si vous souhaitez -jouer- en Bourse la privatisation (partielle) de la Française des Jeux, il existe une valeur peu connue du public qui est pourtant actionnaire de la FDJ à hauteur de 2,626%. C'est la société IDSUD . En achetant des actions de cette société, vous êtes indirectement actionnaire de la FDJ. D'ailleurs, le marché ne s'y est pas trompé
LudWin Group imprimeur
LudWin Group veut créer une imprimerie spécialisée dans les tickets de grattage
À condition de trouver un terrain d’entente avec La Française des jeux. P.-d.g.de LudWin Group (Paris), Yves Hémard a annoncé son intention de créer en France une imprimerie spécialisée dans la fabrication des tickets de grattage. Lui-même spécialisé dans le conseil aux opérateurs de jeux et dans la vente des produits liés à ce secteur, LudWin Group avait d’abord envisagé de créer cette unité en Chine. Avec la crise, le p.-d.g. du groupe a finalement décidé d’adopter une attitude citoyenne et d’apporter sa pierre à l’édifice hexagonal en proposant d’installer son usine en France.
À condition, toutefois, qu’il puisse rencontrer les dirigeants de La Française des jeux et s’accorder avec eux sur un « juste prix » des produits fournis. Yves Hémard a donc écrit au président de la République, Nicolas Sarkozy, représentant de l’actionnaire – La Française des jeux est une entreprise publique – pour lui faire part de son projet et lui demander de faciliter sa mise en œuvre. Aujourd’hui, faute de site spécialisé en France (ce type d’imprimerie a disparu en 2000 après la fermeture d’Oller), La Française des jeux fait imprimer ses tickets aux États-Unis.
Si Yves Hémard réussit à trouver un terrain d’entente avec l’entreprise publique, il installera son usine dans une région française plus touchée que d’autres par les difficultés économiques. « Nous avons les financements », souligne-t-il, avant de préciser que le projet montera en puissance par étapes et qu’il lui faudra investir une dizaine de millions d’euros pour une fabrication annuelle de 3 à 4 milliards de tickets. Et compte tenu de la situation actuelle, il ne devrait pas avoir de mal à recruter les 250 salariés nécessaires.
Rappelons que LudWin Group est aujourd’hui détenu par son Yves Hémard, Christophe Caye, et deux actionnaires extérieurs au monde des jeux.
Source: caractere.net
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Depuis le début-
Le 17/11/2009 à 11:27 par tricherie
ca c'est cool, ils vont imprimer leurs tickets en Chine !
mais comment controler qu'il n'y a pas de triche...sur l'impression des billets ? -
Le 20/05/2009 à 08:36 par anonyme - Site web
Les licences pour jeux d'argent, un terrain d'expression original pour les marques -
Le 20/05/2009 à 08:35 par anonyme
La Loterie Nationale de Belgique renouvelle sa confiance à license2win* pour son ticket à gratter - Love is... - qui a remporté un vif succès pour la Saint-Valentin. license2win, filiale de LudWin Group créée en 2008 est la première agence en Europe à proposer des licences de jeux aux loteries européennes. A l'aube de l'évolution du marché des jeux d'argent, dans un secteur en pleine évolution, le jeu sous licence apparaît comme un levier de communication efficace pour les marques.
Support de communication innovant, le ticket à gratter ouvre de nouvelles perspectives de visibilité pour les enseignes. Maximiser la présence d'un événement, accompagner le lancement d'un produit, capitaliser sur l'existant pour développer ses ventes... la licence apparaît comme un outil efficace et mesurable dans une stratégie de communication.
Elle permet à la marque de cibler avec précision ses publics mais aussi de profiter de l'image forte qui la caractérise pour générer de nouveaux revenus. Enfin, le caractère ponctuel ou saisonnier d'un évènement s'accorde parfaitement avec le lancement d'un ticket à gratter qui vient ainsi soutenir et maximiser la visibilité d'une manifestation sportive par exemple.
Avec l'ouverture prochaine du marché des jeux d'argent online en France, de nouveaux supports de jeux - virtuels - pourraient émerger, offrant ainsi de nouvelles perspectives pour les entreprises. -
Le 15/05/2009 à 18:16 par anonyme - Site web
l'afrique, cible de choix pour l'industrie du jeu
idsud investit au cameroun -
Le 15/05/2009 à 08:58 par anonyme
la fdj, la bonne école pour apporter le "progrès" en Afrqie ! -
Le 13/05/2009 à 08:45 par guinee suite (3)
"
Le préjudice est considérable pour la Sté GUINEENNE DES JEUX (GDJ) qui subit par cet abus de confiance (art. 433 et 434 du Code pénal guinéen, et art. 314-1 et suivants du Code pénal français) un préjudice que l'on pourrait évaluer à 40% (sa part frauduleusement soustraite dans le capital de IDGAMES GUINEE) du C.A. d'une année d'exploitation des jeux en République de Guinée, soit 60.000.000 euros X 40% = 24.000.000 euros.
Nous avons été quelque peu retardés dans la saisine de la justice répressive par la volonté affirmée des deux avocats ayant élaborés les statuts de IDGAMES GUINEE de ne poursuivre aucuns de protagonistes de cette affaire, ayant été les avocats des uns et des autres, et ce pour se conformer à leurs règles déontologiques.
Mais je peux dès à présent vous dire que la justice pénale guinéenne est déjà en charge de cette affaire depuis le 3 juillet 2008, et que la justice pénale française sera saisie dès la prochaine rentrée judiciaire.
" -
Le 13/05/2009 à 08:44 par guinee (suite) - Site web
"
Nos alertes étant vaines, j'ai même tenté pour mieux protéger IDSUD et son jeune PDG de faire intervenir dans notre affaire des amis guinéens haut placés et intègres, mais qui ont été discrédités aux yeux de Jérémie LUCIANI par les propos injurieux et affirmations diffamatoires et mensongères à leur endroit, de ceux qui avaient tout intérêt à isoler le jeune PDG pour mieux abuser de sa crédulité.
J'ai vainement tenté de lutter contre ces rumeurs et d'ouvrir les yeux de Jérémie LUCIANI, mais cette Loge affairiste est parvenue à m'éliminer du circuit, pour me réduire au silence, qui seul permettait à certains de ses membres de poursuivre leur sombre dessein visant à dépouiller IDSUD.
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Le 13/05/2009 à 08:39 par idgames a barcelone - Site web
Famille luciani:
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L'Avocat Maître Jean-François CHANUT, spécialisé dans ce type de montages juridiques, a participé avec la collaboration de Maître Boubacar SOW, Avocat à CONAKRY, à la constitution de la société de droit guinéen créée dans cet objectif, sous la dénomination IDGAMES GUINEE, dont 40% du capital a été attribué à la Sté GUINEENNE DES JEUX (GDJ), et 60% à IDSUD, par le biais d'une filiale dédiée créée pour les besoins de cette opération à BARCELONE par souci d'optimisation fiscale, la Sté IDGAMES DEVELOPMENT.
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Le 07/05/2009 à 18:04 par Anonyme
je jouais au poker, j'ai perdu mon boulot, j'ai perdu ma femme, j'ai perdu ma maison, j'ai perdu ma part d'héritage, j'ai trop joué pour trop jouir, qui m'écoute ? qui est pret a m'aider ? pourtant je n'avais jamais joué au casino ni au grattages. -
Le 07/05/2009 à 16:26 par anonyme - Site web
le jeu, c'est une drogue dure légale qui à la fin du jeu ne laisse statistiquement qu'un seul gagnant, le(s) organisateur(s) du jeu.
Se faire couillonner alors que l'on pensait couillonner l'autre, c'est une situation de jeu excitante et volatile, audience et donc réachat garanti !
Mais le pire, ce n'est pas le rapido, le loto, les paris sportifs ou la bourse.
le pire c'est le Poker, jeu à plusieurs, drogue vraiment dure qui brise les joueurs,
surtout la classe moyenne, ceux qui ont un peu "réussi", qui se sont battus et déjà gagngé, là ou le sentiment de supériorité sur l'autre génére des coups de folies, des "petages de plombs kerviel", là ou y'a de la bagarre, du combat, des caracteres forts opposés pour gagner.
Vos jeux sont faits ? -
Le 07/05/2009 à 11:27 par Anonyme - Site web
Si la fin du monopole actuel du PMU, de la Française des jeux et des casinos sur les paris sportifs, les paris hippiques ou le poker, réjouit les opérateurs en lice sur ce juteux marché, le projet de loi qui régule cette ouverture suscite quant à lui quelques réserves.
Réunis ce mardi à Paris lors d'un colloque organisé par le député UMP Jacques Myard, ces opérateurs pointent du doigt le taux de retour au joueur; c'est-à-dire les gains redistribués, qu'ils estiment trop faibles. En présentant il y a un mois son projet de loi, le ministre du Budget, Eric Woerth, avait annoncé que le plafonnement des gains des joueurs serait limité entre 80% à 85% des mises pour éviter, selon lui, les comportements addictifs. Un argument qu'écarte Maarten Haijer, directeur des affaires réglementaires à l'European gaming and betting association (EGBA, rassemblant les principaux opérateurs de paris en ligne européens) au prétexte qu'aucune étude ne montre qu'il y ait un lien entre addiction et taux de retour au joueur.
Autre point d'achoppement: la fiscalité. Alors que le texte prévoit de taxer le chiffre d'affaires (l'ensemble des mises) à hauteur de 7,5%, les opérateurs réclament plutôt que le prélèvement soit fait sur le produit brut des jeux (différence entre les mises et les gains).
Excluant les machines à sous et les paris lancés sans connaître à l'avance le montant des pertes, le texte ne répond pas aux besoins des consommateurs, plaide par exemple Pontus Lindwall, PDG du site de jeux en ligne suédois Betsson.
Quant à la date elle-même d'ouverture officielle du marché, elle reste "tenable", estime le député UMP et rapporteur du projet de loi, Jean-François Lamour, tout en soulignant le fait que les "délais deviennent tendus". En effet, le projet de loi n'est pour le moment toujours pas inscrit à l'ordre du jour de l'Assemblée, alors que l'examen du texte devrait faire l'objet de plusieurs amendements. Alors, le gouvernement déclarera-t-il l'urgence sur le texte? Le rapporteur n'y est pas favorable.
Ce texte répond à une injonction de la Commission européenne qui, depuis 2007, demande à la France d'ouvrir ce marché à la concurrence sous peine de poursuites devant la Cour européenne de justice.
Pour l'heure, les opérateurs, nombreux, sont sur les chapeaux de roue et peaufinent leur modèle. Parmi les candidats à l'obtention d'une licence, figurent la maison mère de Free, Iliad, mais aussi Stéphane Courbit (ancien dirigeant d'Endemol France et associé à la Société des Bains de Mer), Patrick Le Lay (via sa société d'investissement Serendipity), le groupe Amaury (éditeur des quotidiens Le Parisien et l'Equipe et organisateur du Tour de France) et, bien évidemment, les groupes de casino français comme Barrière, Partouche et Tranchant. Des partenariats sont également montés entre des sites Internet de paris et des médias (Unibet et RMC, BetClic et Europe ,...). -
Le 07/05/2009 à 10:38 par Anonyme - Site web
Le texte organisant l'ouverture du marché français aux paris hippiques et sportifs sur Internet, dont l'examen devant le parlement est à venir, soulève quelques contestations de la part des différents opérateurs prêts à prendre la ligne de départ. Le taux de retour au joueur (gains), plafonné entre 80 à 85% des mises, est jugé trop faible et la fiscalité trop élevée. Quant à la date du 1er janvier 2010 fixée pour l'ouverture officielle, elle est aussi remise en cause. -
Le 07/05/2009 à 10:37 par Anonyme - Site web
Mercredi 6 mai 2009, 17h47
Le rapporteur du projet de loi encadrant le marché des jeux d'argent en ligne, estime que les délais sont "tendus" pour procéder à son ouverture au 1er janvier 2010.
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Le marché des paris sportifs et des jeux d'argent en ligne pourrait ne pas s'ouvrir aux concurrents du PMU et de la Française des Jeux dès le 1er janvier 2010. Lors d'un colloque sur les jeux, le rapporteur du projet de loi encadrant cette ouverture, Jean-François Lamour, a estimé que les délais sont "tendus" pour respecter le calendrier fixé par le ministre du Budget, Eric Woerth (lire l'article L'ouverture du marché des paris sportifs sera effective en 2010, du 05/03/2009). Optimiste, l'ancien ministre précise que ces délais sont néanmoins encore "tenables".
Selon Jean-François Lamour, le projet de loi n'est toujours pas inscrit à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale, notamment à cause d'une surcharge de l'agenda parlementaire. Malgré cela, le député UMP ne se dit pas favorable à ce que l'urgence soit déclarée sur ce texte, ce qui permettrait un examen plus rapide. Or l'examen du texte, qui ne contente ni les buralistes, ni certains opérateurs, devrait faire l'objet de plusieurs amendements.
Ces déclarations interviennent alors que les différents acteurs de ce futur marché légal trépignent d'impatience pour communiquer. Alors que les partenariats entre opérateurs de paris et groupes médias se multiplient, Betclic a mi-avril bravé l'interdiction de Bercy et diffusé des publicités sur Europe 1, radio avec laquelle l'opérateur s'est par ailleurs associé pour proposer son offre à l'ouverture officielle du marché (lire l'article Le gouvernement dénonce la publicité illégale de Betclic, du 21/04/2009). -
Le 07/05/2009 à 10:37 par Anonyme - Site web
Le nouveau jeu de grattage "Cash 500.000 euros", lancé il y a quatre semaines par La Française des jeux (FDJ), a déjà été vendu à 21 millions d'exemplaires, un "démarrage exceptionnel", a annoncé mercredi la à l'AFP la FDJ. -
Le 07/05/2009 à 10:35 par Anonyme - Site web
Le projet de loi relatif à l'ouverture à la concurrence des jeux d'argent en ligne, cheval de Troie de la dérégulation
jeuxUn projet de loi ouvrant en partie à la concurrence le secteur des jeux en ligne doit être examiné prochainement au Parlement. L'apparent équilibre des mesures présentées est trompeur : les modalités du projet de loi sont contestables, et l'ouverture "partielle" qu'il défend ne résistera pas longtemps à la pression des opérateurs en ligne. En définitive, cette ouverture n'endiguera ni l'expansion des pratiques illégales, ni le problème pressant de l'addiction aux jeux. -
Le 06/05/2009 à 16:06 par Anonyme - Site web
Jeux en ligne : la France cherche son modèle en adéquation avec le droit européen
Lors d'un colloque parisien, le PMU, la Française Des Jeux et les opérateurs alternatifs de jeux ont exprimé leurs positions face au projet de loi d'Eric Woerth.
Philippe Guerrier 06-05-2009
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La libéralisation du marché des jeux en ligne en France dans le respect du droit communautaire requiert beaucoup de doigté tant les enjeux sont transversaux : économiques, sociétaux, ordre public, fiscalité...
"Mais l'enjeu fondamental, c'est notre entrée dans le monde de l'Internet. Ce n'est plus un problème européen mais un problème mondial", introduit Jacques Myard, député des Yvelines qui a présidé mardi à Paris un colloque sur les Jeux. Un business qui draîne déjà 20 milliards d'euros entre le PMU, La Française des Jeux et les casinos.
Le projet de loi, poussé par le ministre du Budget Eric Woerth, devrait être examiné par le Parlement d'ici l'été pour une application de la loi prévue à l'horizon début 2010. "Une base équilibrée et cohérente", a précisé Jean-François Lamour, député de Paris qui animait la première table ronde. De son côté, le Parlement européen vient de déposer sa contribution à travers une résolution en date du 10 mars "sur l'intégrité des jeux d'argent en ligne".
"Relative impunité", selon la FDJ
"Comment sortir du brouillard de l'Internet ?", s'interroge Jacques Myard, en référence à l'offre illégale très importante de jeux en ligne : 25 000 sites illicites accessibles depuis la France et 75% des paris sur Internet sont pris sur des sites illégaux.
On nage dans l'économie souterraine sans guère de repères fixes. "Les opérateurs de jeux en ligne bénéficient d'une relative impunité en opérant dans des zones à fiscalité privilégiée", déclare Christophe Blanchard-Dignac, P-DG de la Française des Jeux, qui manie l'art de l'euphémisme.
Le patron de la Française des Jeux appellent les pouvoirs publics à mettre un terme à cette "instabilité politique qui empêchent les acteurs légaux d'évoluer". Tout en assurant que son groupe participe à cette effort via une cellule interne en charge de lutter contre le blanchiment d'argent.
"On ne défend pas un esprit de clocher", dixit le PMU
De son côté, Xavier Hürstel, directeur général délégué du PMU, souhaite que la libéralisation des jeux en France soit synonyme de concurrence libre et loyale. Il se montre rassuré que le projet de loi défende les principes du pari mutuel et du maintien du financement de la filière hippique.
(lire la fin de l'article page suivante)
"Ce n'est pas un esprit de clocher. Le monde des courses vit des paris", commente Xavier Hürstel. "On l'a vu en Allemagne, en Belgique ou au Royaume-Uni : sans retour, les courses se sont effondrées."
Le représentant du PMU souligne la nécessité de réguler le taux de retour (les gains qu'un joueur peut escompter), la lutte anti-fraude et les comptes des joueurs (interdiction aux mineurs de jouer...).
"Nous avons mis en place un système d'auto-régulation pour les internautes clients de notre site Internet", assure Xavier Hürstel. Une manière de contribuer aux risques de dépendance des joueurs que des associations comme SOS Joueurs prennent en charge.
Un opérateur européen établi = une licence française, estime l'EGBA
Après les positions des acteurs institutionnels sur le marché français (PMU, FDJ), les opérateurs alternatifs membres de l'European Gaming and Betting Association (EGBA) - comme Bwin, PartyGaming ou Unibet - ont également pu exprimer leur position par l'intermédiaire de Maarten Haijer, Directeur des Affaires règlementaires de cette structure.
A l'instar d'un pionnier des jeux en ligne Betsson venu de Scandinavie (il est devenu un opérateur de jeux sur Internet coté au Nasdaq et basé à Malte et qui affiche 1,5 million de clients), l'EGBA considère que tout opérateur de jeux établi dans l'Union européenne devrait obtenir automatiquement une licence pour le marché français.
Dans un communiqué de presse en date du 25 mars, soit juste parès la présentation du projet de loi d'Eric en Conseil des ministres, l'EGBA exprimait déjà sa crainte de voir l'émergence d'un "marché des jeux et paris en ligne purement local". -
Le 06/05/2009 à 16:04 par Anonyme - Site web
Publicité sur les jeux en lignes : l'Etat joue l'apaisement.
Écrit par Nicolas Bouis
Lundi 04 Mai 2009 - 18:52
bras de fer ?Le 23 avril, Chip Lead Poker vous annonçait un début de bras de fer à trois sur le sujet des jeux en ligne: des radios qui acceptent des sites de paris en ligne pour sponsoriser leur émissions, un CSA qui souhaite se montrer intransigeant et rappelle la législation (NDLR le marché ne sera ouvert qu'au 1er janvier 2010) et des autorités qui condamnent sans savoir comment réprimander. Attention, l'État prévient : ces publicités sont interdites parce qu'illégales mais nous avons entendu vos arguments...
woerth fdj pmu Difficile de dire si les autorités font marche arrière ou si c'est un pas en avant. Toujours est-il que le ministre du budget rappelle que la publicité pour des jeux en ligne autres que ceux de la Française des Jeux (FdJ) ou du PMU sont interdits. Ça se passe dans le Figaro daté de mercredi 29 avril, et ça fait suite au rappel à l'ordre fait par le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel à deux radios (voir notre article). En cause, la publicité faite par ces radios pour deux opérateurs de paris en ligne considérés illégaux.
Les sites illégaux visés sont BetClic et Unibet, les radios sont Europe1 et RMC. Les lignes de défense sont à peu près identiques : La FdJ fait de la publicité sur RTL. Certes, elle est légale puisque ces opérateurs sont légaux (et en situation de monopole) mais les sites considèrent que c'est de la concurrence déloyale et les radios que c'est un avantage considérable en terme de revenu publicitaire pour RTL qui leur ferait défaut.
Cause entendue par M. Woerth qui rappelle que l'objectif de l'État est avant tout de sécuriser ses recettes sur les jeux mais assure aussi que l'État a demandé à la FdJ et au PMU de ne plus faire de publicité pour leurs jeux en ligne.
La question est : que se passera-t-il si les sociétés détenant le monopole arrêtent leurs campagnes de communication mais que celles jugées illégales continuent la leur ?
Vus les enjeux financiers, les puissants lobbies en place, il n'est pas simple d'envisager l'avenir. D'autant que M. Woerth semble penser qu'un point sur la loi qu'il présente devra être fait d'ici deux ans. De là à ce que les opérateurs y voient une sorte de signe de faiblesse... -
Le 06/05/2009 à 16:03 par pour info - Site web
L'accro aux jeux fait croire qu'on utilise sa carte:
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C'était un jour de décembre 2008. La banque de la prévenue lui aurait téléphoné : - Nous avons remarqué de gros prélèvements sur votre compte par des sites de jeux étrangers, quelqu'un utilise peut-être votre carte bancaire à vos dépens, vous pouvez porter plainte, vous êtes assurée, vous pouvez vous faire rembourser. - Ni une ni deux, la Capestanaise de 55 ans, se rend illico à la gendarmerie et dépose plainte contre un auteur inconnu qui utilise frauduleusement sa carte bancaire... Soit neuf prélèvements pour 1 400€.
Sauf qu'il ne s'agit pas vraiment d'un étranger, mais de la Capestanaise elle-même, complètement accro aux jeux d'argents sur Internet.
Les gendarmes découvrent vite le pot aux roses. car sur son relevé d'identité bancaire figurent des prélèvements de la Française
des Jeux, qu'elle continue à jouer sur Internet et surtout en 2005, elle a déjà dénoncé une utilisation frauduleuse de sa carte auprès d'un autre organisme bancaire.
- Quand mon banquier a appelé, je n'ai pas réfléchi, j'étais en pleine crise d'angoisse, quand je suis comme cela, je fais n'importe quoi ! -, explique la dame, qui reconnaît son addiction au jeu et à l'alcool, pis-aller à son mal-être.
Car l'expert psychiatre confirme l'état névrotique anxieux, conséquence d'un vécu enfantin difficile. La prévenue été hospitalisée à plusieurs reprises suite à son état psychologique. - Mais les faits ne sont pas en relation avec son affection et elle est tout à fait accessible à une sanction pénale -, conclut le rapport.
Le vice-procureur Raoul Deslandes requiert trois mois d'emprisonnement avec sursis : - Et pour lui rendre service, je demande la confiscation de l'ordinateur saisi chez elle. - Me Vial-Bondon, pour la défense, explique - que tout le monde n'est pas égal devant le jeu et l'alcool, certains peuvent jouer ou boire occasionnellement, d'autres plongent dans un engrenage terrible -. Et selon l'avocate, la personnalité fragile de sa cliente va en faire une proie idéale. Et de décrire plus avant la situation personnelle déplorable de sa cliente : - Orpheline, adoptée, maltraitée, maman très jeune, abandonnée pour l'énième fois par un homme qui lui a donné le virus du jeu et de l'alcool, alors elle sombre, elle est en survie ; mais ce n'est pas un escroc en jupon, son casier est vierge. - Le tribunal a condamné la quinquagénaire à trois mois d'emprisonnement assortis du sursis et a prononcé la confiscation de son ordinateur.
Compte-rendu d'audience Annick KOSCIELNIAK -
Le 06/05/2009 à 13:45 par addiction test
1. Avez-vous déjà manqué le travail ou l'école pour le jeu ?
2. Le jeu a t-il déjà rendu votre vie de famille malheureuse ?
3. Le jeu affecte t'il votre réputation ?
4. Avez-vous déjà ressenti du remords après avoir joué ?
5. Avez-vous déjà joué pour obtenir l'argent de vos dettes ou pour résoudre des difficultés financières ?
6. Le jeu a t'il causé une baisse de votre ambition ou de votre efficacité ?
7. Lorsque vous avez perdu, avez-vous ressenti le besoin de rejouer le plus rapidement possible pour récupérer vos gains ?
8. Après avoir gagné avez-vous ressenti le besoin d'y retourner pour en gagner plus ?
9. Avez-vous déjà joué une partie jusqu'à votre dernier sou ?
10. Avez-vous déjà emprunté pour financer le jeu ?
11. Avez-vous déjà vendu quelque chose pour financer le jeu ?
12. Aviez-vous des réserves quant à utiliser "l'argent du jeu" pour les dépenses journalières ?
13. Est-ce que le jeu vous rend négligeant envers vous même ou votre famille ?
14. Avez-vous déjà joué plus longtemps que prévu ?
15. Avez-vous déjà joué pour vous sortir de certains ennuis ou problèmes ?
16. Avez-vous déjà commis, ou envisagé de commettre un acte illégal pour financer le jeu ?
17. Est-ce que le jeu a déjà causé des problèmes de sommeil ?
18. Est-ce que les querelles, les déceptions ou frustrations créent un besoin de jouer ?
19. Avez-vous ressenti le besoin de célébrer votre chance en allant jouer quelques heures ?
20. Avez-vous considéré l'auto-destruction ou le suicide suite aux jeux ?
Le CSA demande à RMC de respecter l'interdiction de pub pour jeux de hasard
PARIS (AFP) — Le Conseil supérieur de l'audiovisuel a demandé à la station de radio RMC (groupe NextRadioTV) de respecter la législation qui interdit à ce jour la publicité en faveur des sites de jeux de hasard et de paris en ligne.
Selon une décision publiée jeudi sur son site, le CSA précise dans son courrier que RMC a annoncé à plusieurs reprises la prochaine diffusion d'une nouvelle émission intitulée "Les Paris de RMC" consacrée aux pronostics sportifs "en partenariat avec le site de jeux et de paris en ligne Unibet".
Or, souligne le CSA, l'activité d'Unibet, un groupe suédois dont les activités dans le jeu ont rapporté 123,4 millions d'euros brut en 2008, "est illégale en France dans l'état actuel de la législation" qui interdit notamment les loteries et les jeux de hasard, à l'exception de ceux organisés par l'Etat français (Française des Jeux, PMU).
La publicité en faveur de ces activités est "également interdite" à ce jour, précise le CSA, qui demande à RMC de respecter la législation en vigueur.
Ce n'est que le 1er janvier 2010 que sera ouvert à la concurrence en France le marché des jeux sur internet.
De son côté, RMC souhaite dans un communiqué que tous les médias (audiovisuels, presse, internet), soient "traités sur un pied d'égalité".
"Constatant que la publicité en faveur des jeux en ligne autres que ceux organisés par l'Etat français fleurit sur Internet et se développe dans certains titres de presse", RMC, qui fait partie du groupe NextRadioTV présidé par Alain Weill, a décidé "d'ouvrir ses espaces publicitaires aux entreprises de jeux en ligne". La radio considère que "rien ne justifie la différence de traitement entre Internet et la presse, d'une part, et les médias audiovisuels, d'autre part, a fortiori dans un marché publicitaire sinistré pour les radios".
RMC demande au CSA de "bien vouloir la recevoir au préalable de toute décision qu'il pourrait être amené à prendre sur ce dossier".
Pour sa part, la radio Europe 1 (groupe Lagardère), qui avait diffusé le 17 avril un message publicitaire en faveur du site de paris sportifs et de jeux en ligne Betclic (installé à Malte et présent dans 12 pays européens), a fait l'objet le 21 avril d'une "mise en garde" du CSA contre le "renouvellement d'une telle pratique". La mise en garde est une mesure plus sévère que la simple lettre.
Enfin les quotidiens gratuits Directmatin et Metro France ont publié jeudi des pages de publicité sur le thème "Jouons libre avec BetClic". Pour sa part, Metro France avait déjà entamé en décembre 2008 un "partenariat de communication" sur les paris sportifs et le poker avec Unibet.
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Le 20/07/2023 à 09:25 par Debuy - Site web
Très bon positionnement du CSA. Il serait nécessaire d'en faire de même pour les publicités destinées aux enfants. -
Le 23/08/2009 à 11:28 par Anonyme - Site web
La dure loi des loteries et des concours
dimanche 23.08.2009, 04:42
La dure loi des loteries et des concours La Française des Jeux peut organiser des loteries payantes. PHOTO ARCHIVES PATRICK JAMES
Loteries et jeux concours se multiplient sur Internet. Parfois à la limite de la légalité. Les joueurs doivent rester vigilants.
La fortune en quelques clics et avec un peu de chance. C'est ce que proposent de plus en plus de sites sur Internet via des loteries ou des concours. - C'est un phénomène que l'on a du mal à appréhender, selon Gwendoline Muselet, avocate à Lille.
Pour ma part, j'estime que s'ils sont mis en ligne sur le territoire français, ils doivent respecter la législation française. - Qui est particulièrement ferme. - La loterie est une pratique commerciale très encadrée, le principe primordial étant sa gratuité. Il ne doit y avoir aucune obligation d'achat et aucun coût ne doit subsister à la charge du participant, y compris les éventuels frais de participation (en l'espèce le coût de la connexion pour les loteries sur Internet). - Les loteries sont réglementées depuis la loi de 1836. Elles doivent respecter les principes de gratuité, de tirage au sort et de règlement déposé auprès d'un huissier. Seules les loteries organisées par la Française des Jeux sont autorisées à faire supporter une contrepartie financière.
Pour les jeux concours (comme reve-prive.com, lire ci-dessus), c'est différent. Ils peuvent être payants. - Ce sont des jeux qui font davantage appel aux connaissances, aux dons ou à la sagacité de la personne -, souligne Gwendoline Muselet. - Il doit s'agir de questions qui appellent de véritables réponses dans lesquelles le hasard ne doit et ne peut avoir aucune place -.
Mieux vaut de toute façon être prudent en la matière, lire scrupuleusement le règlement du concours, d'autant plus si la participation est payante. -
Le 24/06/2009 à 19:51 par Anonyme - Site web
Les rumeurs courent déjà : plusieurs opérateurs seraient disposés à ne pas se positionner pour obtenir le précieux sésame en signe de mécontentement.
Il faut quand même se souvenir qu'ils sont sensés être illégaux à ce jour. Pourtant ça ne les empêchent d'être présents dans les magazines et sites spécialisés.
Plusieurs rooms ont déjà recruté des - people - (Virginie Efira, Alice Taglioni, Estelle Denis ou autre sportifs tels Chabal, Alonso et personnalités du show biz comme Kool Shen), prévoyant certainement une opération de communication.
Récemment, des partenariats radio/sites de jeu ont alimenté l'actualité : RTL fait un partenariat avec la Française Des Jeux, il est légal. Europe 1 et RMC réagissent mettant en place des partenariats avec respectivement BetClic et Unibet (voir news sur le site Chip Lead Poker) qui eux sont illégaux. L'Etat exprime son mécontentement et le CSA rappelle les radios - dissidentes - à l'ordre. Celles-ci se défendent de ne pouvoir lutter puisque RTL et la FDJ ont le droit. L‘Etat condamne ? Non, il fait même marche arrière en demandant à la FDJ (dont il est actionnaire à 72%) d'arrêter sa pub RTL pour jouer l'apaisement à quelques mois de l'ouverture officielle.
On voit par exemple les émissions foot de Canal+ être sponsorisées par Cotes et Match, fin 2009, qui va empêcher ces opérateurs de mener une éventuelle communication de masse avec pub à la télé ? Et s'il font cette communication sans par la suite prendre de licence ?
3) La commission consultative.
Elle est confirmée par l'article 26 paragraphe III du projet de loi : - L'Autorité de régulation des jeux en ligne comprend une commission consultative, composée de représentants des opérateurs agréés de jeux ou de paris en ligne et des sociétés mères de courses ainsi que de représentants institutionnels du monde du sport, qu'elle peut consulter pour préparer ses décisions. - Ceux qui vont gagner de l'argent y sont donc représentés, mais ceux qui vont en perdre ? Pourquoi les représentants des joueurs ne font ils pas partis de cette commission consultative ? -
Le 15/05/2009 à 17:35 par anonyme
les premiers a avoir enfreint les lois en vigueur sont :
- les chaines de télé et leurs programmes de poker
- le figaro en 2008 avec la pub pour la loterie de dubai -
Le 12/05/2009 à 18:52 par anonyme - Site web
"Il est urgent de remettre du droit et de la régulation dans le domaine des jeux sur Internet "
Entretien exclusif avec le ministre du Budget et des comptes publics qui intervient ce lundi après-midi au Sénat, lors d'un colloque intitulé "Jeux de hasard et d'argent : nouvelle donne, nouvelle politique ?", organisé par Aromates et dont La Tribune est partenaire.
Eric Woerth, ministre du Budget
La Tribune - Vous estimez que le jeu en ligne représente aujourd'hui 2 milliards d'euros d'activité, dont 75 % de jeux illégaux. Un an après l'ouverture à la concurrence, à combien espérez-vous ramener la part du jeu illégal ?
Eric Woerth - Avoir légalisé au moins 50% du marché dès les premières années d'ouverture me semble être un objectif atteignable. Le projet de loi du Gouvernement vise en effet à inciter les opérateurs à faire le choix de la légalité, en leur donnant un cadre d'activité clair et une fiscalité raisonnable. Pour les opérateurs qui n'auront pas de licence, en revanche, la vie va devenir de plus en plus dure: blocage de l'accès à leur site, blocage des transactions financières avec les joueurs, interdiction de la publicité, saisine de la justice, nous jouerons sur tous les leviers que nous donne le projet de loi, et ce dès 2010.
- Vous venez de réclamer l'arrêt de la publicité des opérateurs du jeu en ligne sur les médias traditionnels (presse écrite, radios) mais vous tolérez que les acteurs du jeu en ligne, y compris illégaux, continuent à faire leur promotion sur le net. Pourquoi ?
- Non, nous ne le tolérons pas. J'ai lancé un avertissement clair aux opérateurs illégaux qui se sont engagés dans des campagnes de publicité alors que celles-ci sont interdites jusqu'à l'ouverture. Le CSA a lui-même averti des stations de radio. Les choses sont d'ailleurs en train de rentrer dans l'ordre, et je constate avec satisfaction que les deux opérateurs de jeu concernés s'apprêtent à mettre fin à leur campagne de publicité. C'est l'Etat qui donnera le signal de l'ouverture effective du marché, et personne d'autre.
- Comment allez-vous parvenir à respecter le calendrier d'ouverture à la concurrence sur les jeux en ligne pour le 1er janvier prochain. Pour accélérer les discussions autour de la loi sur le jeu, avez-vous l'intention de décréter l'urgence parlementaire ?
- Nous prendrons le temps nécessaire au débat, car nous sommes devant un sujet complexe, où beaucoup de questions et de sensibilités s'entremêlent. Une chose est sûre: le vote rapide de la loi est indispensable, car ce qui est vraiment urgent, c'est de remettre du droit et de la régulation dans le domaine des jeux sur Internet. On doit sortir de cette situation dans laquelle une offre se développe à un rythme rapide sans contrôle ni transparence. La crise nous l'a à nouveau montré: l'Etat ne peut pas être en retard d'une régulation. C'est vrai dans tous les domaines, et notamment sur ce marché des jeux qui connaît un développement considérable sur Internet.
- Avez-vous l'impression d'un retour en arrière sur ce dossier de la part de Bruxelles qui voudrait désormais laisser chaque Etat gérer ce processus d'ouverture à son rythme et selon ses modalités ?
- Il n'y a pas de consensus en Europe sur le sujet des jeux, même si certains Etats membres partagent des préoccupations communes en matière d'ordre public et d'ordre social. La régulation doit être donc faite avant tout au niveau national. Et il y aura des différences d'un Etat à l'autre, parce qu'un grand nombre d'Etats membres, dont la France, refusent la -reconnaissance mutuelle-, c'est-à-dire le fait qu'une licence obtenue dans un Etat permette à l'opérateur d'exercer son activité partout en Europe.
- L'Etat n'a pas vocation à rester actionnaire majoritaire de la Française des Jeux. Avez-vous fixé un calendrier pour l'ouverture du capital de l'opérateur des loteries en France ?
- La priorité aujourd'hui, c'est de réussir l'ouverture du marché des jeux sur Internet et de tenir notre calendrier. Ce nouveau contexte va cependant conduire la Française des Jeux à adapter sa stratégie, son organisation et sa gouvernance. C'est la raison pour laquelle, à l'initiative du Gouvernement, une réflexion a été lancée sur l'évolution de ces questions. Elle est encore en cours.
Propos recueillis par Sandrine Cassini, Héléna Dupuy et Olivier Provost -
Le 01/05/2009 à 11:14 par Anonyme - Site web
-On ne commence pas une course avant que le signal soit donné.- Dans une interview au Figaro, le ministre du Budget, Eric Woerth, appelle mercredi les opérateurs de paris sportifs et de jeux en ligne à -cesser immédiatement- leurs publicités.
Deux d'entre eux, BetClic et Unibet, incitent déjà les Français à jouer sur internet alors que l'ouverture du marché français des jeux à la concurrence n'est prévue que le 1er janvier 2010, après le vote de la loi par le Parlement.
-Le droit actuel est très clair, relève le ministre du Budget et il doit s'appliquer. Ces sites n'ont pas encore le droit d'opérer en France et l'interdiction vaut aussi pour la publicité qu'ils peuvent faire-. Aux critiques des futurs opérateurs contre une -distorsion de concurrence- avec les opérateurs déjà en place, le ministre avance que la Française des Jeux et le PMU, qui bénéficient (encore) d'un monopole et peuvent donc faire de la publicité, se sont engagés à ne pas en faire sur les jeux en ligne jusqu'au 1er janvier prochain. -
Le 30/04/2009 à 11:13 par Anonyme
et si l'interdiction de la publicité pour les jeux de hasard etait definitive ?
Comme pour le tabac et l'alcool !
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Le 30/04/2009 à 09:07 par Anonyme - Site web
Mercredi 29 avril 2009, 15h45
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Dans "un souci d'apaisement" avec leurs futurs concurrents, la Française des Jeux et le PMU ont décidé de ne plus faire de publicité pour les paris sportifs, hippiques et le poker en ligne.
La Française des Jeux s'est engagée à ne plus faire de publicité pour les jeux en ligne qui doivent être libéralisés sur Internet à échéance du 1er janvier 2010. Sont concernés les paris sportifs, hippiques et le poker en ligne. Cette décision, annoncée par le ministre du Budget Eric Woerth dans une interview au "Figaro", a pour but d'apaiser la situation actuelle, très critiquée par les futurs nouveaux entrants.
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Ceux-ci se plaignent en effet de ne pas être autorisés à faire de publicité jusqu'à la légalisation de leur activité en France. Alors que dans le même temps, la Française des Jeux et le PMU continuent d'en faire, au risque de préempter le marché avant même son ouverture.
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Dans un communiqué commun, Europe 1 et Betclic, qui avaient fait part de leur partenariat, ont annoncé qu'ils respecteraient cette règle si tous les acteurs s'y obligent. "Dès lors que toutes les actions de promotion, émissions dédiées, partenariat, sponsoring, des opérateurs de paris sportifs et de jeux en ligne - publics et privés - sont effectivement et clairement reportées ou annulées, Betclic et Europe 1 déclarent qu'ils sont prêts eux-aussi à suspendre leur accord de partenariat à l'antenne", affirment-ils. -
Le 29/04/2009 à 15:35 par chez morandini - Site web
Woerth: les pub pour les jeux en ligne "doivent cesser"
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Le ministre du Budget, Eric Worth, a affirmé mercredi dans Le Figaro que les publicités des opérateurs de jeux en ligne étaient "illégales" et "doivent cesser immédiatement".
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Deux opérateurs de paris sportifs et de jeux en ligne (BetClic et Unibet) publient depuis deux semaines des publicités ou soutiennent des opérations de sponsoring sur des radios ou dans des quotidiens pour inciter les Français à jouer sur internet. "Le droit actuel est très clair, relève le ministre du Budget et il doit s'appliquer.
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Ces sites n'ont pas encore le droit d'opérer en France et l'interdiction vaut aussi pour la publicité qu'ils peuvent faire". Il rappelle que le Conseil supérieur de l'audiovisuel a mis en garde les deux opérateurs et les deux chaînes de radio en cause (RMC et Europe 1).
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M. Woerth demande donc "un peu de patience" aux futurs opérateurs car l'ouverture du marché français des jeux à la concurrence est prévue le 1er janvier 2010 après le vote de la loi par le Parlement. A la demande du gouvernement, ajoute le ministre, la Française des Jeux et le PMU, qui bénéficient d'un monopole et peuvent donc faire de la publicité, se sont engagés à ne pas en faire sur les jeux en ligne.
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Ces deux opérateurs ont enregistré en 2008 un chiffre d'affaires global de 1,170 milliard d'euros sur les jeux en ligne. Interrogé sur le fait que certains futurs opérateurs comme BetClic jugent la fiscalité trop élevée (7,5 % sur les paris sportifs et hippiques et 2 % sur le poker, ndlr) M. Woerth rappelle que le point sur la fiscalité sera fait deux ans après l'ouverture du marché.
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Il souligne que "l'objectif de l'Etat est de sécuriser ses recettes sur les jeux" (plus de 5 milliards d'euros par an, ndlr). -
Le 29/04/2009 à 10:16 par Anonyme
BetClic poursuit sa campagne de publicité dans les médias français
Il y a 4 jours
PARIS (AFP) — L'opérateur de paris sportifs et jeux en ligne BetClic a annoncé vendredi vouloir poursuivre sa campagne de publicité, pourtant illégale, dans les médias français et demande une "égalité de traitement" avec la Française des Jeux et le PMU. -
Le 25/04/2009 à 19:42 par Anonyme - Site web
BetClic poursuit sa campagne de pub illégale:
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L'opérateur de paris sportifs et jeux en ligne BetClic a annoncé vendredi vouloir poursuivre sa campagne de publicité, pourtant illégale, dans les médias français et demande une "égalité de traitement" avec la Française des Jeux et le PMU.
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Dans une interview au Figaro, Isabelle Parize, directrice générale de Mangas Gaming, holding qui possède BetClic, confirme que la campagne de publicité, qui a débuté le week-end dernier sur Europe 1, se poursuit. Des pages de publicité ont été publiées jeudi dans les quotidiens gratuits Directmatin et Metro, sur le thème "Jouons libre avec BetClic".
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Le Figaro comportait également vendredi une publicité du site de paris sportifs, créé en 2005 par des Français, installé à Malte et qui revendique un million de parieurs dans douze pays européens. L'ouverture à la concurrence du marché des jeux français sur internet est prévue le 1er janvier 2010. En attendant la publicité pour les paris sportifs ou hippiques reste interdite.
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Le ministère du Budget a d'ailleurs condamné lundi la campagne de BetClic en soulignant que "la publicité pour les opérateurs de jeux reste illégale, sauf pour ceux disposant d'une autorisation" La Française des Jeux et le PMU ont enregistré en 2008 un chiffre d'affaires sur internet de 1,170 milliard d'euros.
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Bercy "nous a fait part effectivement de son mécontentement", reconnaît Isabelle Parize qui assure être "ni va-t-en-guerre, ni dans une approche revendicatrice". Elle demande "simplement une égalité de traitement avec les monopoles, la Française des Jeux et le PMU", relevant que la FDJ a déjà signé des accords avec RTL, le quotidien gratuit 20 Minutes, Canal + et France 2.
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"Nous avons besoin de faire connaître notre marque", plaide Mme Parize, ajoutant que les médias ont "aussi besoin, en ces temps difficiles, de nouveaux annonceurs". La responsable de Mangas Gaming, qui prévoit de réaliser 200 millions d'euros de produit brut des jeux en 2009, annonce que BetClic demandera une licence d'exploitation en France tout en dénonçant la taxation "trop forte" et le champ d'ouverture "trop limité" du projet de loi qui exclut tous les jeux de casino à l'exception du poker. -
Le 25/04/2009 à 13:55 par Anonyme
La publicité pour les sites de paris en ligne crée la polémique
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L'offensive publicitaire des sites de paris en ligne fait des vagues. Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) a décidé d'épingler, coup sur coup, Europe 1 et RMC, deux radios qui ont ouvert leurs ondes à la promotion de sites dont les activités sont encore jugées illégales en France.
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Europe 1, qui a diffusé dès vendredi 17 avril et pendant le week-end des spots publicitaires enjoignant les auditeurs à devenir parieurs sur le site BetClic, a reçu mardi 21 avril une mise en garde du CSA. BetClic est une filiale de Mangas Gaming la société détenue à parité par Stéphane Courbit, l'ex-patron d'Endemol et de la Société des bains de mer.
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Soucieux de convaincre les joueurs de poker sur internet, des sites de jeux en ligne multiplient les partenariats avec les médias.
Les faits Les sociétés de paris en ligne misent sur les alliances avec les groupes de médias
Edition abonnés Archive : "Avec le nouveau Loto, nous espérons recruter 3 millions de joueurs supplémentaires"
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De son côté, RMC a annoncé sur son antenne, le 16 avril, le lancement d'une nouvelle émission, "Les paris de RMC" en partenariat avec un autre acteur des jeux d'argent en ligne, Unibet. Cette émission de pronostics sportifs devrait être diffusée pour la première fois samedi 25 avril. Le CSA a décidé d'envoyer un courrier à Alain Weill, président de NextRadioTV qui possède RMC, lui demandant de respecter la législation.
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Dans le cas d'Europe 1 et dans celui de RMC, le CSA invoque la loi du 21 mai 1836 qui prohibe les loteries et celle du 12 juillet 1983 relative aux jeux de hasard. Ces textes interdisent la publicité pour ces activités aux sociétés non agréées. Seuls le PMU et La Française des jeux sont autorisés à offrir l'un des paris hippiques, l'autre des jeux de loteries et des paris sportifs et par conséquent peuvent en faire la promotion.
Une situation qui devrait changer puisque le gouvernement par la voix du ministre du budget, Eric Woerth, s'est engagé à ouvrir le marché des jeux en ligne, paris hippiques et sportifs mais aussi poker au 1er janvier 2010. La loi, qui fixera les règles, devrait être discutée avant l'été. Bercy a demandé à l'ensemble des acteurs de respecter le calendrier et de ne pas communiquer avant l'obtention des licences.
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"NOUS DEMANDONS L'ÉQUITÉ"
Or, la plupart des acteurs se sont déjà lancés dans la bataille depuis plusieurs mois sur Internet. L'objectif : recruter des parieurs. Puis les partenariats avec les médias se sont noués. Unibet s'est affiché dans le gratuit Metro puis à la télévision en finançant un jeu de télé-réalité diffusé sur NT1. L'autrichien BWIN s'est allié au groupe Amaury éditeur de L'Equipe et du Parisien. Mais c'est l'accord signé entre RTL et La Française des jeux qui a servi de déclencheur. Celui-ci prévoit une émission de paris "On joue le match" mise à l'antenne le 17 avril mais devrait aussi déboucher sur une offre de jeux commune. BetClic et Europe 1 négocient un accord similaire.
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Sans attendre, Europe 1 a décidé de passer des spots pour BetClic et RMC a dévoilé une émission de paris avec Unibet. " Nous n'essayons pas d'être en avance d'une loi. Mais il y a une grande tolérance de Bercy vis-à-vis des sites Internet. Nous demandons l'équité à un moment où nous avons besoin de ces budgets publicitaires. De plus, en lançant une émission de paris avec La Française des jeux, RTL créée une situation de distorsion de la concurrence", explique M. Weill, qui a demandé à être reçu par le CSA. Quant à BetClic, qui s'est affiché sur le petit écran mi-mars lors du match PSG-Braga, il poursuit sa campagne de pub dans la presse.
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Laurence Girard -
Le 24/04/2009 à 09:59 par respect de la loi ?
maiq que fait la police ? -
Le 23/04/2009 à 18:42 par Jean-Pierre TEYSSIER - Site web
ce n'est pas Monsieur Jean-Pierre TEYSSIER, Président du BVP et ancien patro nde la Fdj qui oeuvrera pour un strict controle de la publicité papiet, tele ou internet ! -
Le 23/04/2009 à 18:38 par Spam Fdj et Pmu - Site web
Mais que fait notre cher ministre pour faire respecter la loi ?
- faut il encore se coucher devant l'europe et laisser les lessiviers du jeu appauvrir des millions de francais
- quand se décidera t'on de règlementer le spam et d'empecher la fdj, le pmu et autres organisateurs de jeu de polluer le net ? -
Le 23/04/2009 à 18:33 par Dubai Duty Free Lott - Site web
Le figaro avait deja commencé en décembre 2008 à faire de la publicité pour la Dubai Duty Free Lottery
La Française des Jeux en prison
Avant d'affronter les terribles secteurs pavés de Paris-Roubaix et après avoir effectué un repérage du parcours, les coureurs de la Française des Jeux ont fait escale du côté de la prison de Valenciennes, révèle La Voix du Nord.
Six d'entre eux et Marc Madiot ont rencontré huit détenus de l'établissement qui participeront du 4 au 19 juin au Tour de France pénitentiaire, long de 2200 kilomètres entre Lille et le Stade Charlety à Paris.
Source : le Figaro
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Depuis le début-
Le 20/06/2009 à 07:25 par Anonyme - Site web
A Châteauroux, un aumônier visiteur de prison commentait : -Ceux qui arrivent à la centrale de Saint Maur, ils ont déjà fait le tour de France, mais des centrales. Ils peuvent dire où la nourriture est la meilleure.- L'homme d'Eglise déplore que l'administration pénitentiaire ne consacre que 5 % de son budget à la réinsertion. Faux, rétorque celle-ci, c'est 30 %. Le premier Tour de France aura, lui, coûté 400 000 euros, financés à 60 % par des sponsors.
Pour les -régionaux-, la perspective du retour derrière les barreaux est souvent difficile, mais ils n'en parlent pas. -Je préfère avoir les boules de rentrer que de ne pas être sorti-, philosophe un détenu. -Tous les moyens sont bons pour leur donner de l'espoir-, conclut Michel, le mécano. En prison, certains se sont fait chambrer parce qu'ils courent avec les surveillants. L'étape de la veille, Uzerche-Châteauroux, a été dure, il a plu tout du long. Un détenu d'Uzerche a juré qu'il -ne recommencerait pas-. A la fin d'une étape dans le Sud, un prisonnier avait lancé, après son abandon : -Le prochain qui m'offre un vélo, je le fume.- -
Le 20/06/2009 à 07:25 par liberation
Forçats de la route
Près de 200 détenus ont pris part à un tour de France à vélo, qui arrive aujourd'hui à Paris. Objectif : préparer la réinsertion.
C'est un tour de France qui a des prisons pour étapes. Les spectateurs applaudissent aux fenêtres, réclament parfois des cadeaux quand passe la caravane. Mais il n'y a pas de cadeau. Les coureurs ont de belles lunettes de soleil, des cuissards et des maillots siglés de la Française des Jeux. On dirait des vrais. Mais c'est un peloton bien dosé : un tiers de détenus, deux tiers de surveillants, moniteurs de sports, directeurs d'établissements et, parfois, magistrats. -C'est bizarre, on dirait pas des prisonniers. Ils ne font même pas peur-, a dit une petite fille à l'arrivée d'une étape. Le suiveur a du mal à savoir qui interviewer : comme ils ont tous la même tenue sportive, il ne sait pas distinguer les -bons- des -méchants-. -
Le 06/06/2009 à 11:47 par anonyme - Site web
... Communiqué de presse Jeudi 4 juin 2009 La Française des Jeux soutient le premier Tour de France cyclis te Pénitentiaire du 4 au 19 juin La Française des Jeux met son é quipe cycliste et sa fondation d'entreprise au service du premier Tour de France Pénitentiaire du 4 au 19 juin. Ce projet vise à la réinsertion de détenus par le sport. Il est porté par le Ministère de la Justice associé au Ministère de la Santé, de la Jeuness e et des Sports et pilo té par l'Administration Pénitentiaire. Un premier peloton de 20 personnes (dont 6 déte nus de la maison d'arrèt de Valenciennes ) s'élancera de Lille le 4 juin pr ochain. Il est encadré par des surveillants de l'Administration Pénitentiaire et par des représentants de l'équipe cycliste la Française des Jeux. Durant 15 jours, ce peloton sera complété chaque jour par des détenus sélectionnés dans 62 autres établissements. Au total, ce sont près de 200 détenus qui rouleront sur des étapes de 150 km en moyenne durant 15 é -
Le 22/04/2009 à 08:41 par Anonyme - Site web
La Française des Jeux abandonne la vente en supermarchés
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La société de jeux de hasard ne renouvellera pas les contrats-tests sur la distribution de ses produits en grandes surfaces, comme le réclamaient les buralistes.s
jeux à gratter
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La Française des Jeux (FDJ) a décidé de fermer ses points de ventes dans les supermarchés. Elle ne renouvellera pas les 131 contrats-tests d'un an signés au deuxième semestre 2008. La société de jeux de hasard précise qu'elle a pris sa décision en raison de résultats "contrastés", avec des bénéfices "pas toujours à la hauteur des attentes" dans certains points de ventes.
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Les buralistes se disent "rassurés" par cette nouvelle. Ils avaient clairement protesté contre lors de l'ouverture de ces points de ventes il y a quelques mois. Selon Pascal Montredon, le président de la confédération des buralistes, la vente des jeux en grandes surfaces menaçait l'équilibre économique du réseau des 29.000 buralistes, dont le chiffre d'affaires dépend de la vente de jeux à hauteur de 20 à 30%.
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La semaine dernière, les buralistes ont manifesté devant le siège de la Française des Jeux pour réclamer le "blocage définitif des implantations de points de ventes jeux dans les grandes et moyennes surfaces". Ils restent néanmoins très inquiets de la libéralisation des jeux en ligne et estiment que 80% d'entre eux sont menacés par la future possibilité des internautes français de jouer en ligne. -
Le 22/04/2009 à 08:40 par Anonyme - Site web
La Française des Jeux (FDJ) a finalement jeté l'éponge, hier. Ses produits ne seront pas vendus dans les supermarchés, à la grande satisfaction des buralistes : - Nous sommes rassurés, c'est exactement ce que nous demandions -, a expliqué Pascal Montredon, président de la Confédération des buralistes. En effet, cinq cents buralistes avaient manifesté bruyamment, la semaine dernière, devant le siège de la FDJ, à Boulogne-Billancourt, pour réclamer - un blocage définitif des implantations de points de vente de jeux dans les grandes et moyennes surfaces -.
Une revendication entendue, puisque la FDJ a décidé de fermer progressivement ses 131 points de vente tests en grandes et moyennes surfaces, invoquant - l'évolution de l'environnement économique au cours des derniers mois, qui affecte la pertinence de ces tests -. Un soulagement pour les buralistes, très alarmés de cette menace sur leurs ventes au moment où ils doivent aussi affronter la libéralisation des jeux sur Internet. -
Le 22/04/2009 à 08:40 par Anonyme - Site web
La Française des Jeux annonce ce lundi 20 avril la fermeture de ses points de vente en supermarchés. Les 131 contrats-tests qui avaient été signés avec des grandes et moyennes surfaces ne seront pas renouvelés. La Française des jeux juge l'expérience peu concluante et préfère s'appuyer sur son réseau de buralistes déjà existant.
Cette décision est très largement approuvée par les buralistes. Ils estimaient que l'ouverture des points de vente dans les supermarchés menaçait directement l'équilibre économique de leur profession. La vente des jeux représente 20 à 30% du chiffre d'affaires. Le manque à gagner résultant de cette concurrence était à leurs yeux intolérable. Les buralistes avaient par ailleurs manifesté devant le siège de la Française des jeux pour réclamer l'arrêt de ces implantations. -
Le 21/04/2009 à 14:54 par Anonyme - Site web
La Française des jeux renonce à créer 131 points de vente dans les grandes surfaces. Cette initiative avait suscité le courroux des buralistes.
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- La Française des jeux a décidé de ne pas renouveler les 131 contrats tests en grande et moyenne surface (GMS) signés à partir du deuxième semestre 2008. Cette démarche de test avait été initiée en concertation avec les représentants de son réseau : la Confédération des buralistes et l'Union nationale des diffuseurs de presse.
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Elle portait sur une durée d'un an et sur un nombre limité de 131 points de vente en GMS -, a écrit la FDJ dans un communiqué paru hier. Une ambition commerciale L'objectif affiché de la FDJ était - d'aller à la rencontre d'une partie des 10 millions de consommateurs potentiels qui ne fréquentent pas ou plus le réseau des bars, tabacs et presse de la Française des jeux, en leur offrant un accès à son offre de jeux et en leur permettant de retrouver le chemin du réseau de proximité -.
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Cette ambition commerciale avait suscité la colère du réseau, qui avait jusqu'alors l'exclusivité de la distribution des jeux. Hasard du calendrier ou crainte de se mettre à dos les 29.000 débitants de tabac, cette décision intervient cinq jours après une forte mobilisation de leur confédération.
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En effet, environ 500 buralistes élus syndicaux, selon la police et les organisateurs, se sont rassemblés mercredi devant le siège de la Française des jeux, à Boulogne-Billancourt, pour dénoncer le projet de libéralisation du marché des jeux.
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Ils ont donc demandé un - blocage définitif des implantations de points de vente jeux dans les grandes et moyennes surfaces - et - une augmentation de la rémunération de base pour tous les détaillants -. La FDJ, quant à elle, assure que ce renoncement a été décidé après études des gains générés par ces contrats tests.
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En effet, près d'un an - après le démarrage, il ressort que les résultats sont contrastés. Ils ont permis comme prévu d'entrer en contact avec des joueurs, mais les bénéfices attendus sur un certain nombre de points de vente n'ont pas toujours été à la hauteur des attentes -.
- Nous sommes rassurés -
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Pour clore la polémique, la FDJ, qui a enregistré un chiffre d'affaires en baisse de 1,1 % à plus 9 milliards d'euros, réaffirme - son attachement à ses 38.000 détaillants, diffuseurs de presse et buralistes, qui assurent un lien de proximité essentiel avec les Français - et prévoit d'ouvrir dans les douze prochains mois 1.200 nouveaux points de vente.
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- Nous sommes rassurés, c'est exactement ce que nous demandions -, a déclaré hier le président de la Confédération des buralistes, Pascal Montredon. - La grande distribution peut vivre sans les jeux. Mais nous, on ne peut pas vivre sans. Si nous perdons entre 10 et 15 % de notre chiffre, ce serait un séisme -, a-t-il ajouté. -
Le 21/04/2009 à 14:53 par Anonyme - Site web
Les buralistes poussent un ouf de soulagement ! Les tests effectués en grandes surfaces pour les produits de la Française des jeux n'ont pas été concluants. Ses points de ventes dans les supermarchés seront donc fermés progressivement et les 131 contrats-tests d'un an ne seront pas renouvelés. Selon la FDJ, les résultats étaient - contrastés - et - pas toujours à la hauteur des attentes -.
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Une bonne nouvelle pour les buralistes qui avaient vivement protesté lors de l'établissement de ces contrats au 2me semestre 2008. En effet, leur chiffre d'affaires dépend pour 20 à 30 % de la vente de jeux, que ce soit des jeux de grattage ou des jeux de tirage. La semaine dernière encore, ils manifestaient pour le blocage définitif des points de ventes de jeux dans les grandes et moyennes surfaces. La Française des jeux réaffirme ainsi son attachement aux détaillants et compte d'ailleurs ouvrir 1 200 nouveaux points de vente d'ici l'année prochaine.
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Cela dit, un autre phénomène pourrait faire de l'ombre aux buralistes : la libéralisation des jeux sur Internet. Il est déjà possible de jouer au loto ou au PMU mais bientôt, ce marché va être ouvert aux entreprises de jeux étrangères. Les buralistes estiment que près de 80 % d'entre eux se sentent menacés par l'afflux des nouveaux jeux en ligne. -
Le 21/04/2009 à 08:57 par Anonyme - Site web
Cinq cents buralistes avaient réclamé mercredi devant le siège de la FDJ à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) un "blocage définitif des implantations de points de vente jeux dans les grandes et moyennes surfaces". -
Le 21/04/2009 à 08:57 par Anonyme - Site web
Plus de points de vente FDJ en supermarchés
- France 3 -
La Française des Jeux va fermer ses points de vente dans une centaine de supermarchés comme le demande les buralistes
La FDJ "a décidé de ne pas renouveler les 131 contrats-tests en grande et moyenne surface signés à partir du second semestre 2008", a-t-elle déclaré lundi confirmant une information du Figaro.
"Nous sommes rassurés, c'est exactement ce que nous demandions", a aussitôt réagi le président de la Confédération des buralistes Pascal Montredon.
Selon lui, la vente des jeux en grandes surfaces menaçait l'équilibre économique du réseau des 29.000 buralistes car elle représente entre 20 % et 30 % du chiffre d'affaires.
500 buralistes avaient manifesté bruyamment mercredi devant le siège de la FDJ à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) pour réclamer un "blocage définitif des implantations de points de vente jeux dans les grandes et moyennes surfaces".
Mais selon la FDJ, l'objectif était d'aller à la rencontre d'une partie des 10 millions de consommateurs potentiels qui ne fréquentent pas ou plus le réseau de proximité des bars, tabacs et presses de la FDJ , "en leur offrant un accès à son offre de jeu et en leur permettant de retrouver le chemin du réseau de proximité".
La FDJ, qui a enregistré un chiffre d'affaires en baisse de 1,1 % à 9,203 milliards d'euros, réaffirme par ailleurs "son attachement à ses 38.000 détaillants, diffuseurs de presse et buralistes, qui assurent un lien de proximité essentiel avec les Français" et prévoit d'ouvrir dans les douze prochains mois 1.200 nouveaux points de vente. -
Le 20/04/2009 à 17:17 par Anonyme - Site web
LOTO - L'entreprise publique va cesser de vendre ses jeux dans la grande distribution, un projet plombé par la crise et les craintes afférentes des détaillants...
C'était son atout pour séduire le -joueur occasionnel-. La Française des Jeux (FDJ) va mettre un terme à la vente de ses jeux de grattage et de tirage dans les grandes surfaces. Lancé pendant le deuxième semestre 2008, le test, d'une durée d'un an, concernait 131 magasins. La FDJ a déjà commencé à retirer ses billes en ramenant, début avril, cette activité à 109 enseignes.
L'entreprise justifie cet arrêt par deux facteurs conjugués. -Avec le contexte économique devenu difficile, le projet perdait en pertinence, explique ce lundi à 20minutes.fr un porte-parole de la FDJ. Le joueur occasionnel, qu'on voulait attirer vers notre réseau de proximité, a d'autres préoccupations actuellement.-
-On va se concentrer sur le réseau de proximité-
La crise a aussi provoqué le mécontentement des buralistes. Associés au projet en 2008, via une concertation entre la compagnie publique et l'Union nationale des diffuseurs de presse, ils souffrent d'une érosion des ventes et 500 d'entre eux l'ont fait bruyamment savoir devant le siège de la FDJ mercredi dernier.
-Compte tenu aussi de cette inquiétude, on a décidé d'interrompre le test, confie le représentant de la FDJ. On va se concentrer sur le réseau de proximité et nos dix millions de joueurs réguliers.- L'entreprise va ouvrir d'ici à un an 1.200 nouveaux points de vente de type Loto, dans des bars-tabac et autres points presse. -
Le 20/04/2009 à 17:17 par Anonyme - Site web
PARIS (AFP) — La Française des Jeux a renoncé lundi à vendre ses jeux dans les supermarchés, à la grande satisfaction des buralistes très alarmés de cette menace sur leurs ventes au moment où ils doivent aussi affronter la libéralisation des jeux sur internet.
"Nous sommes rassurés, c'est exactement ce que nous demandions", a expliqué Pascal Montredon, président de la Confédération des buralistes.
"Notre manifestation a porté ses fruits!", a renchéri Martine Dussaule, élue du Conseil d'administration de la Confédération. "Le ministre du Budget a fait le nécessaire auprès de la Française des jeux".
Cinq cents buralistes avaient manifesté bruyamment mercredi devant le siège de la FDJ à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) pour réclamer un "blocage définitif des implantations de points de vente jeux dans les grandes et moyennes surfaces".
La FDJ a finalement jeté l'éponge lundi et décidé de fermer progressivement ses 131 points de vente test en grande et moyenne surface, invoquant "l'évolution de l'environnement économique au cours des derniers mois, qui affecte la pertinence de ces tests".
L'objectif initial de la FDJ, qui a enregistré en 2007 et 2008 une baisse de son chiffre d'affaires, était de proposer "un accès à son offre de jeux" aux 10 millions de consommateurs qui ne fréquentent pas ou plus le réseau des bars, tabacs et marchands de journaux distribuant les produits de la FDJ.
Mais les "bénéfices attendus sur un certain nombre de points de vente n'ont pas toujours été à la hauteur des attentes", assure-t-elle.
"La Française des jeux a entendu nos arguments, à savoir que nous sommes les meilleurs garants du +jeu responsable+, et qu'elle avait intérêt à maintenir l'équilibre économique de son principal réseau", a souligné M. Montredon. "Nous sommes reconnus comme le réseau référent du jeu".
Selon M. Montredon, 20 à 30% du chiffre d'affaires des 24.000 buralistes (sur 29.000) détaillants de la FDJ provient de la vente de jeux. "La grande distribution peut vivre sans les jeux, pas nous", a-t-il expliqué.
La Confédération estime par ailleurs assurer les trois quarts du chiffre d'affaires de la FDJ. Sa rémunération "inchangée depuis 1976", s'élève à "5% sur le tirage et le grattage".
"On va pouvoir renouer un dialogue constructif. La FDJ a une obligation de faire évoluer ses ventes, nous aussi. Nous allons pouvoir affronter l'avenir collectivement", assure M. Montredon.
Au titre des nuages susceptibles d'obscurcir l'horizon des buralistes, "la concurrence sur Internet". La France va en effet ouvrir le marché de ses jeux en ligne à partir du 1er janvier 2010.
Cette libéralisation du marché des jeux est une mauvaise nouvelle pour les buralistes, qui ont déjà souffert de la hausse des prix du tabac et de l'interdiction de de fumer dans les cafés. Leurs ventes de cigarettes ont baissé d'un tiers entre 2002 et 2008, estiment-ils.
Selon le mensuel de la profession le Losange du mois d'avril, le chiffre d'affaires des ventes de cigarettes s'est toutefois stabilisé en février (+0,3% sur douze mois).
"Notre activité se maintient, mais le moindre changement peut mettre en péril notre équilibre économique", avertit M. Montredon. -
Le 20/04/2009 à 17:16 par Anonyme - Site web
La vente des jeux de grattage et de tirage en grandes et moyennes surfaces va être progressivement stoppée, en raison de bénéfices insuffisants.
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La vente des jeux représente entre 20 et 30 % du chiffre d'affaires des buralistes (Sipa)
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La vente des jeux représente entre 20 et 30 % du chiffre d'affaires des buralistes (Sipa)
La Française des Jeux (FDJ) a annoncé, lundi 20 avril, son intention "de ne pas renouveler les 131 contrats-tests en grande et moyenne surface". Elle répond ainsi à la colère des cinq cents buralistes qui défilaient contre cette mesure mercredi 15 avril, devant le siège de la FDJ à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).
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Toutefois, la FDJ invoque des "bénéfices attendus sur un certain nombre de points de vente qui n'ont pas toujours été à la hauteur des attentes" ainsi qu'une "évolution de l'environnement économique au cours des derniers mois qui affecte la pertinence de ces tests".
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Les points de vente de jeux d'une centaine de supermarchés vont ainsi fermer progressivement. La FDJ délaisse donc son objectif de conquérir les 10 millions de consommateurs potentiels ne fréquentant plus les bars-tabacs et autre distributeur de presse. Néanmoins, elle réaffirme son "attachements à ses 38.000 détaillants" et prévoit l'ouverture de 1.200 nouveaux points de vente dans les douze prochains mois.
Les buralistes "rassurés"
De leur côté, les buralistes s'avouent "rassurés". "Nous sommes rassurés (...) c'est exactement ce que nous demandions", déclare à l'AFP Pascal Montredon, président de la Confédération des buralistes. Pour lui, cette nouvelle vente des jeux en grande et moyenne surface menaçait l'équilibre économique des 29.000 buralistes. La vente des jeux représente pour eux entre 20 et 30 % du chiffre d'affaires, a-t-il précisé. "La grande distribution peut vivre sans les jeux. Mais, nous on ne peut pas vivre sans les jeux. Si nous perdons entre 10 et 15% de notre chiffre, ce serait un séisme", ajoute-t-il.
Pascal Montredon conclut sur son souhait de "définir dans les semaines ou mois qui viennent, en bonne intelligence avec la Française des Jeux, une stratégie pour conquérir de nouveaux marchés pour faire face à la concurrence des jeux sur Internet", attendus début 2010. (Avec AFP) -
Le 20/04/2009 à 12:03 par Anonyme - Site web
La Française des Jeux va fermer ses points de vente en supermarchés
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PARIS (AFP) — La Française des Jeux (FDJ) a annoncé lundi sa décision de fermer progressivement ses points de vente dans une centaine de supermarchés dont l'ouverture avait suscité la colère des buralistes, confirmant une information du Figaro.
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La FDJ "a décidé de ne pas renouveler les 131 contrats-tests en grande et moyenne surface signés à partir du second semestre 2008", notamment en raison de "l'évolution de l'environnement économique au cours des derniers mois qui affecte la pertinence de ces tests", précise-t-elle dans un communiqué.
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Cinq cents buralistes avaient manifesté bruyamment mercredi devant le siège de la FDJ à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) pour réclamer un "blocage définitif des implantations de points de vente jeux dans les grandes et moyennes surfaces".
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La FDJ assure pourtant que "cette démarche de test avait été initiée en concertation avec les représentants de son réseau, la Confédération des buralistes et l'Union nationale des diffuseurs de presse". Elle portait sur une durée d'un an et sur un nombre limité de 131 points de vente en grande et moyenne surface.
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L'objectif, selon la FDJ, était d'aller à la rencontre d'une partie des 10 millions de consommateurs potentiels qui ne fréquentent pas ou plus le réseau de proximité des bars, tabacs et presses de la FDJ, "en leur offrant un accès à son offre de jeu et en leur permettant de retrouver le chemin du réseau de proximité".
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Cependant, les "bénéfices attendus sur un certain nombre de points de vente n'ont pas toujours été à la hauteur des attentes" alors que "l'évolution de l'environnement économique au cours des derniers mois affecte la pertinence de ces tests", ajoute la FDJ.
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La FDJ, qui a enregistré un chiffre d'affaires en baisse de 1,1 % à 9,203 milliards d?euros, réaffirme par ailleurs "son attachement à ses 38.000 détaillants, diffuseurs de presse et buralistes, qui assurent un lien de proximité essentiel avec les Français" et prévoit d'ouvrir dans les douze prochains mois 1.200 nouveaux points de vente. -
Le 20/04/2009 à 12:02 par Anonyme - Site web
La Française des jeux renonce aux supermarchés
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La société met fin à la vente test de jeux en grandes surfaces, un projet qui avait suscité la colère des buralistes
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La Française des jeux va cesser de vendre ses jeux en grandes surfaces, un projet qui lui avait attiré les foudres des buralistes. Mercredi dernier, 500 d'entre eux s'étaient rassemblés devant le siège de l'entreprise pour manifester leur mécontentement. Lancé dans le courant du deuxième semestre 2008, le test, d'une durée d'un an, concernait 131 magasins. La Française des jeux va donc désormais se concentrer sur son réseau habituel en ouvrant d'ici à un an 1 200 nouveaux points de vente, situés dans des bars, brasseries, tabac, points presse… -
Le 18/04/2009 à 10:28 par Anonyme - Site web
Marché des jeux. 500 buralistes manifestent
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Environ 500 buralistes se sont rassemblés hier devant le siège de la Française des jeux, à Boulogne-Billancourt, pour dénoncer le projet de libéralisation du marché des jeux. Ils réclament un -blocage des implantations de points de vente de jeux dans les grandes et moyennes surfaces- et une augmentation de la rémunération pour tous les détaillants. L'activité du jeu pèse entre 20 et 32% de leur chiffre d'affaires. -
Le 18/04/2009 à 10:27 par Anonyme - Site web
Pourquoi les jeux sont (presque) faits pour les buralistes
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L'arrivée des tickets de grattage dans les rayons de supermarchés inquiète les buralistes.
François Sol dénonce une - casse du petit commerce - avec l'ouverture du marché des jeux à gratter.
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François Sol dénonce une - casse du petit commerce - avec l'ouverture du marché des jeux à gratter.
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François Sol dénonce une - casse du petit commerce - avec l'ouverture du marché des jeux à gratter.
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Ils subissent déjà la baisse des ventes de tabac et la concurrence des jeux en ligne. Ils vont bientôt devoir en découdre avec les grandes surfaces. Les buralistes s'insurgent contre le projet de la Française des jeux d'autoriser les grandes et moyennes surfaces à vendre des lotos et autres Millionnaires ou Bingo. - Nous sommes entièrement contre cette ouverture du marché et nous allons rester vigilants pour protéger nos petits commerces -, prévient Thierry Scheid, président du syndicat des buralistes du Lot.
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À Cahors, François Sol dénonce aussi cette nouvelle mesure : - Une fois de plus, on cherche à casser le petit commerce. À long terme, cette nouvelle concurrence risque de nous porter un coup fatal -. On comprend mieux la crainte exprimée par les professionnels d'une disparition de leur marché lorsque l'on sait que le département compte moins de 200 revendeurs,selon les chiffres consultables sur le site du syndicat des buralistes (www.buraliste.fr).
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D'ores et déjà, le nord du département commence à sentir les effets de cette mesure. Or, ce sont précisément ces zones rurales qui profitent des points de vente, de vie et de proximité que représentent les bureaux de tabac.
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C'est d'ailleurs l'utilisation qui est faite de ce maillage serré du territoire qui suscite la colère des professionnels. - La Française des jeux s'est toujours appuyée sur notre réseau pour se développer. Depuis le début, nous travaillons dans des conditions inchangées avec une commission sur les ventes de jeux à gratter qui stagne à 5 %. Et maintenant, ils nous passent au-dessus pour accroître leur activité -, s'énerve François Sol. Mais l'enjeu n'est pas seulement commercial. Thierry Scheid n'hésite pas à déplacer le débat sur le terrain de l'éthique. - Comment voulez-vous qu'une caissière de supermarché puisse prendre le temps de se poser la question de l'âge de l'acheteur d'un jeu. Des campagnes de prévention contre l'addiction au jeu ont été lancées à destination des plus jeunes, mais on nous enlève les moyens de la mettre en place dans nos boutiques -, critique-t-il. Avant de lâcher, tel un avertissement : - On est en attente. Il y a encore des actions à mener -. -
Le 17/04/2009 à 09:33 par Anonyme - Site web
Jeudi 16 avril 2009, 16h44
Près de 500 buralistes ont manifesté mercredi devant le siège de la Française des Jeux pour marquer leur opposition à l'ouverture du marché des jeux d'argent sur Internet. Selon la Confédération des buralistes, l'équilibre économique de plus de 80 % des buralistes en France est menacé par l'ouverture de ce marché.
Les jeux d'argent représentent 20 à 32 % du chiffre d'affaires des 24.000 buralistes (sur 29.000) qui distribuent les produits de la Française des Jeux. Les buralistes touchent une commission de 5 % sur le tirage et le grattage. Ils demandent une revalorisation de cette commission, ainsi que l'arrêt des implantations de points de vente de jeux dans les grandes surfaces. -
Le 14/04/2009 à 16:52 par les buralistes - Site web
EST-ECLAIR
AUBE / Les buralistes regardent vers l'avenir
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Les buralistes se seraient-ils inscrits au cours du soir de philosophie ? Pas de banderoles vindicatives, ni d'énervement à la tribune samedi soir lors de l'assemblée générale rassemblant les 187 buralistes du département, à Rosières-près-Troyes. On est loin de l'atmosphère de l'année dernière, quand la toute récente interdiction de fumer dans les lieux publics chauffait les esprits.
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Pour autant, les difficultés demeurent, mais le - contrat d'avenir - signé avec l'État contribue à désamorcer la colère. Oui, les ventes de tabac ont chuté en volume d'un tiers depuis 2002, mais la part du gâteau accordé sur chaque paquet vendu est toujours croissante : - Elle sera bientôt de 6,25 % net. On souhaite ainsi que le marché garde sa valeur, quels que soient ses volumes -, glisse à la tribune Bernard Fleury, le vice-président de la confédération nationale invité pour l'occasion.
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En réalité, les fortes hausses du prix du tabac semblent derrière, et ce n'est plus en direction de l'État que se concentrent les attaques des buralistes cette année. Dans leur ligne de mire désormais, la Française des jeux, qui développe sa présence sur internet et en grande surface. -
L'ouverture des jeux en ligne est pour le 1er janvier prochain - - un terrible appel à concurrence - - tandis qu'une centaine de nouveaux supermarchés devraient proposer cette année des jeux à leurs caisses. Les buralistes montrent les dents, puisque les jeux représentent encore 75 % de leur chiffre d'affaire.
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Une manifestation est programmée le 15 avril à Paris et des actions devant les grandes surfaces incriminées sont à l'étude. - Nous sommes déterminés à défendre notre avenir ! -, martèle Bernard Fleury, qui a néanmoins bien conscience qu'une crispation sur les acquis du passé ne réglera rien.
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En réalité, pour survivre, les buralistes doivent changer, et tous le savent. Samedi soir, l'accent a été mis sur le grand atout de la corporation : sa proximité avec le client. Des nouveaux services vont être proposés : vente de timbres-amendes électroniques, paiement de passeports, téléphonie avec les cartes prépayées, clés minute, création de - relais-poste -…
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Pour les buralistes, l'avenir est à la diversification. -
Le 09/04/2009 à 22:38 par Anonyme
en matière de jeu durable, le jeu dure tant qu'il y a des joueurs. -
Le 09/04/2009 à 22:38 par jeu durable
Encore une opération marketing menée par la com de la Fdj, entreprise "responsable, à l'écoute de son environnement, apportant du lien social et les preuves concrètes de son engagement, l'entreprise du jeu durable"
Lire les commentaires textes
-Seul face aux parieurs-
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Ex-fan de la Juventus de Michel Platini, Fabrizio est chef du trading desk. Cet Italien de 42 ans a été formé aux grilles du Totocalcio. A 28 ans, il quitte sa ville natale de Turin pour un transfert chez les bookmakers londoniens.
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Fou de la Juve, cet ancien étudiant en sciences politiques passionné de psychologie sociale se destinait au journalisme. Mais c'était sans compter sa rencontre avec les books anglais qui ont vite compris le profit à tirer de l'expérience sportive de ce passionné de football et de cyclisme.
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A 18 ans, ce fils de petits commerçants bricole un logiciel pour faire des calculs de probabilités sur les matchs du championnat italien. Les parieurs anglais, qui commencent à s'intéresser au calcio, lui achètent ses cotes. Il les leur envoie par fax puis décide d'émigrer à Londres bien qu'il ne parle pas un mot d'anglais. Une décision difficile pour Fabrizio qui ne le regrettera pas.
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Il travaille d'abord pour des sociétés de paris sportifs par téléphone et même courrier postal avant d'assister, quelques années plus tard, à l'explosion du jeu en ligne.-Ça changeait tout : alors que les paris étaient jusque-là très compliqués et réservés à un monde d'initiés, on s'est mis à faire des paris très simples avec des cotes bien plus élevées.
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Ça a démocratisé le secteur.- Premier bookmaker embauché chez Betclic en 2005, Fabrizio aime dire que -le book ne vous dira jamais qui va gagner mais qui est sur ou sous-estimé-.
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Pour lui, le bon coteur n'est pas seulement une machine à engloutir les statistiques mais un fin observateur des comportements humains. -C'est un combat entre ce que le book estime et ce que les parieurs croient.
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Seul face à des milliers de parieurs, le book doit être capable de l'emporter dans la grande majorité des cas-.
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Xavier Mosquet en dates
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11 avril 1955 Naissance à Neuilly.
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1975-1978 Ecole des Mines.
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1979 Troisième cycle en physique du solide, et chercheur en énergie solaire au Centre de recherche du ministère de l'Equipement.
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1979-1984
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Elf Aquitaine, à la direction des énergies nouvelles.
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1984
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MBA à l'Insead.
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1985
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Intègre le Boston Consulting Group.
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2005
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Ouvre le bureau BCG de Detroit.
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Mars 2009
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Intègre l'-auto task force- de l'adminis-tration Obama.
mon mari a jouer au poker et perdu doit-je remboursé ?
La française des jeux....
Notre chère française des jeux connait elle la crise ? Je ne le sais pas et qu'importe .Quoique, si elle pouvait à son tour faire faillite, ce serait vraiment un grand bien pour le peuple de France .En effet, qui mise le plus sur ces loteries débiles ? les pauvres bien sur .Le gars qui touche son RMI, maintenant son RSA, doit à coup sur investir à fond dans les grattages .C'est nul, dur dur pour lui .Cette française des jeux devrait être interdite au même titre que le sont toutes les arnaques financières !.Quoique, j'ai une idée : On pourrait s'amuser à créér une chaîne de dons de morpions ou autre millionnaire .Pourquoi pas, qu'en dirait le pouvoir ?
Merci à vous tous, vous êtes de plus en plus nombreux à lire mes billets .Ici, dans ce blog, j'essaie un maximum d'être honnête avec mes pensées et sentiments.
Grande poste, prêt à se rendre à nouveau .... Merci keep it up!
Dans la Grèce Antique, Platon écrivait :
- On peut en apprendre plus sur quelqu'un en une heure de jeu qu'en une année de conversation. -
Journalisme et interractivité !
Mr Abiker oublie de préciser que le patron de FRANCE24, la chaine francaise dans le monde est aussi président du conseil de sureveillance de joy casino (moliflor).
C'est ca l'info, sous couvert d'informer, on désinforme !
Faudrait, pas confondre un quizz avec un pari, ah ces journalistes encore en grève !
Et que penser du commissaire européen Charlie McCreevy , ancien bookmaker qui impose l'ouverture des jeux de hasard contre les peuples.
Bastards !